Coupe du Royaume de France - BA vs Languedoc (20 Sept 1457)

Hispahan

Hispahan qui venait de passer du statut de supportrice à celui de joueuse allait disputer son deuxième match. Elle s'était un peu perdue dans les vestiaires et arriva enfin sur le terrain. L'ambiance paraissait déjà survoltée et elle marqua un temps d'arrêt en posant le pied sur la pelouse. Mais ce n'était pas le moment de reculer, fallait y aller. Elle aperçut Polchtron, l'un des rares joueurs de sa nouvelle équipe qu'elle connaissait dèjà, et se dirigea vers lui à petite foulée.

Bonjour Polch, bonjour tout le monde !
J'ai le temps de vider une chope ou deux avant qu'on commence ?

Pour toute réponse, il lui brailla dans les oreilles son cri de ralliement et elle voulut lui répondre.

Tuez-les tous !!!!

Sa voix s'éteignit dans sa gorge, son slogan habituel, celui des Soul'Hards, n'était pas de mise ici, elle n'était plus biterroise mais languedocienne... Un peu gênée, elle plongea une chope dans un tonneau et la vida d'un trait.

Chrego

Longue attente dans les vestiaires. Fallait bien apprendre à connaître un minimum les membres de l'équipe, et causer tactique! Pas franchement perdu, le pépère Chrego, mais il était pas peu fier de ce nouveau maillot... L'équipe du Languedoc! Il n'avait osé y penser en prenant en charge déjà l'équipe de Béziers. Et pourtant il était bien là, en numéro 5...

Entrée sur le terrain en enfilade derrière le capitaine, le co-capitaine, et les premiers joueurs de l'équipe. Drôle de sensation... Entre envie d'en découdre, une fois de plus, et une pointe d'appréhension. Il voulait être à la hauteur... Sûrement qu'une équipe de comté c'est encore une autre expérience!

Des cris de partout, peut-être plus que souvent. Petit sourire en coin: au moins, on sait qu'on joue en visiteurs! Comme d'hab, ça va remuer dans les brancards, chambrer sec et se pochtroner!

Rassemblement autour du Cap'tain et co cap'tain...

Citation :: Allez les Occités ont va leur montrer de quoi sont faits les Languedociens !
Occitanie per tetjorn !!!

Citation :: Bon les z'amis nous sommes ici aujourd'hui pour gagner , oui pour gagner . Nous avons du mal à préparer cet équipe et au moins nous saurons que nous l'avons pas fait pour rien . Donc on croit tous en tout le monde et que la confiance règne !

Reprise avec les autres joueurs de l'équipe:

OCCITANIA PER TOTJORN !!

Et que les meilleurs gagnent.... C'est à dire NOUUUUS!!!!!

Rick

Rick se frotta les yeux lorsqu'il vit apparaître sur le terrain, les premiers joueurs de l'équipe du Languedoc. Un instant, il avait cru que les tensions dans leur duché aient pu les empêcher de se déplacer jusque dans le BA, mais il n'en fut rien. Vraisemblablement, ils avaient besoin de parler tactique, plus longuement que les auvergnats. Quel dommage pour eux quand même ! Les joueurs semblaient être persuadés qu'ils gagneraient sans problème contre les BA Titubent. Cette attitude fit sourire l'entraîneur. Il s'avança pour mieux les regarder, puis voyant dans les gradins, Amandine en pompom girl entonner le chant des supporters auvergnats, il se mit à son tour à le chanter. Il espérait qu'ainsi cela inciterait les enfants de la chorale à entrer sur le terrain et les troubadours à jouer de leurs instruments.

Ami, entends-tu les cris de nos supporters
Ami, entends-tu les cris sourds des paysans de nos terres
Ohé supporters, artisans, nobles et paysans, c’est la soule
Qui dans nos gradins fait crier toute la foule

Ce soir nos adversaires essuieront les larmes de défaite
Pendant que nous autres toute la nuit ferons la fête
Autour des glorieux joueurs de soule bourbonnais
Les tonneaux de vin et de bière seront mis en percée

Montez de la mine, descendez des collines supporters
Sortez vos fanions, vos maillots qui vous rendent si fiers
Ohé joueurs prenez la soule et poutrez les
Ohé les marqueurs courez vite, portez la dans leur filet

C’est nous supporters qui chantons cet air des gradins pour nos frères
La joie dans nos cœurs et la fierté de notre duché, de notre terre
Ici, y’a des duchés où les villageois ont mis en nous plein d’espoir
Ici, nous, vois-tu, nous on marque, et nous on poutre, nous on est là pour la victoire

Ici chacun sait ce qu’il veut, ce qu’il fait, quand il passe
Ami, si tu tombes, un ami sort de l’ombre et poutre à ta place
Demain dans le cœur de nos supporters plus nombreux
Sera chanté, compagnons, le chant des partisans bourbonnais victorieux

Ami, entends-tu les cris de nos supporters
Ami, entends-tu les cris sourds des paysans de nos terres
Oh oh oh oh oh oh oh oh

Petitrusse

Petitrusse arriva au stade en avance pour se familiariser avec les lieux.

N'etant pas un habitué des matches de Soule, lorsqu'il se déplaçait, il décidait d'arriver à chaque fois suffisamment tôt pour voir l'entrée des joueurs sur le terrain.

Pour des raisons personnelles, il avait pris ces derniers temps de nouvelles résolutions, dont l'une, était d'aller voir chaque sortie de l'équipe ducale de Soule de son Duché.
Peut être qu'un jour, il rejoindra cette équipe.
Mais pour l'instant, il était surtout là pour la soutenir.

Il était confiant pour ce match... Il savait que ça passerait bien pour ses amis sur le terrain.

Am123

Le co-capitaine tappa dans les mains pour monter pourquoi ils etaient ici , surout pas pour ronfler , ils étaient ici avant tout pour s'amuser et partager un moment de bonne ambiance , (alcoolique ou non ^^ ) et de tonneaux . La victoire venait après , mais il était important pour ca que la bonne ambiance règne , il était content de cette jouvelle équipe des occités et il savaient qu'ils méritaient leurs place ici . Les match ducaux sont souvent durs car on retrouve parfois les meilleurs tacticien du monde la soule , et il y avait en face beaucoup de joueur qui jouait dans de bonne équipes , comme monpensier .

Mais tout le monde sait que la soule languedocienne est un mythe au sud , on y trouvait aussi de grande équipe pouvant rivaliser et espérer gagner un titre , de coupe royale ou autre . les chiffre de l'anne passee le prouve . Mende en demi finale , uzes en quart de finale , alais et nimes qui ont fait un beau parcours , carcassone qui avance très bien . Des equipes comme bèziers ou monpellier qui sont à craindre également . Le quota en languedoc ne manquait pas , surtout que les joueurs qui ont été mis sur la feuille de ce match n'était pas du moindre ...

Il commença alors à chanter une vieille chanson occitane , qui était ancienement et encore à l'heure actuelle l'hymne de tout occitan , les fier francais du Sud .

Dejós de ma fenèstra
I a un aucelon
Tota la nuèch canta
canta sa cançon.

Se canta que cante
Canta pas per ieu
Canta per ma mia
Qu'es al luènh de ieu.

Aquelas montanhas
Que tan nautas son
M'empachan de veire
Mas amors ont son.

Baissatz-vos montanhas
Planas, levatz-vos
Per que pòsque veire
Mas amors ont son.

Aquelas montanhas
Lèu s'abaissaràn
E mas amoretas
Se raprocharàn.

----------------------------------------------------------
Sous ma fenêtre
Il y a un oiselet
Toute la nuit il chante,
Chante sa chanson

S'il chante, qu'il chante,
Il ne chante pas pour moi,
Il chante pour ma mie
Qui est loin de moi.

Ces montagnes
Qui sont si hautes,
M'empêchent de voir
Où sont mes amoures.

Baissez-vous, montagnes,
Plaines, dressez-vous,
Pour que je puisse voir
Où sont mes amoures.

Ces montagnes
S'abaisseront bientôt,
Et mes amoures
Se rapprocheront.

Petitrusse

Petitrusse écouta le chant de l'équipe adverse.

Il connaissait bien ce chant, pour l'avoir entendu lorsqu'il avait traversé une partie du Languedoc il y a quelques mois.

Petitrusse fronçà les sourcils. Cela lui rappela de mauvais souvenirs de ce voyage.
Il se rappela de ce matin, sortant d'une auberge, il avait été arreté par la maréchaussée pour lui signifier qu'une plainte avait été déposée contre lui, et qu'un procès venait de s'ouvrir.
Il avait du user de ses nombreuses connaissances en Languedoc, pour que ce procès soit annulé.
Enfin, il ne devait plus y penser.

Petitrusse reprit ses esprits et chanta à son tour:

Ami, entends-tu les cris de nos supporters
Ami, entends-tu les cris sourds des paysans de nos terres
Ohé supporters, artisans, nobles et paysans, c’est la soule
Qui dans nos gradins fait crier toute la foule

Ce soir nos adversaires essuieront les larmes de défaite
Pendant que nous autres toute la nuit ferons la fête
Autour des glorieux joueurs de soule bourbonnais
Les tonneaux de vin et de bière seront mis en percée

Montez de la mine, descendez des collines supporters
Sortez vos fanions, vos maillots qui vous rendent si fiers
Ohé joueurs prenez la soule et poutrez les
Ohé les marqueurs courez vite, portez la dans leur filet

C’est nous supporters qui chantons cet air des gradins pour nos frères
La joie dans nos cœurs et la fierté de notre duché, de notre terre
Ici, y’a des duchés où les villageois ont mis en nous plein d’espoir
Ici, nous, vois-tu, nous on marque, et nous on poutre, nous on est là pour la victoire

Ici chacun sait ce qu’il veut, ce qu’il fait, quand il passe
Ami, si tu tombes, un ami sort de l’ombre et poutre à ta place
Demain dans le cœur de nos supporters plus nombreux
Sera chanté, compagnons, le chant des partisans bourbonnais victorieux

Ami, entends-tu les cris de nos supporters
Ami, entends-tu les cris sourds des paysans de nos terres
Oh oh oh oh oh oh oh oh

Clothilde

Clothilde se tenait sur l'estrade avec les enfants de la Chorale du BA, et les troubadours du Comité des Festes.

Dernières recommandations en attendant l'arrivée de l'équipe languedocienne.

Et enfin ils étaient là !

Déjà dans les tribunes, les chants des supporters des deux équipes se faisaient écho.
Dans un sourire, Clothilde fit signe aux enfants et aux musiciens que le moment tant attendu étai enfin venu : interprêter l'Hymne de l'équipe de Soule du BA !

Troubadours du BA

Tout comme les petits choristes, la troupe des Troubadours du Comité des Festes du Bourbonnais-Auvergne attendait sagement l'arrivée de l'équipe adverse pour accompagner la Chorale des Enfants du BA.

Au signal de Clothilde, ils reprirent en main Psalterion :

Cromorne :

Tambour : et Vielles :

... et jouèrent :

la musique de l'Hyme de l'équipe de Soule du Bourbonnais-Auvergne

Chorale des enfants du BA

Coupe du Royaume de France - BA vs Languedoc (20 Sept 1457) - Page 3 Lacba

Au signal de Clothilde, les enfants, jusque là tout excités, reprirent sagement les places qui leur avaient été attribuées, en fonction de leur taille et surtout de leur tessiture.

Ils arboraient fièrement leurs tuniques brodées aux couleurs de leur cher Duché, et portant les initiales de la "CBA" dont ils étaient si heureux de faire partie.

Le coeur battant, ils entendirent les premières notes jouées par les troubadours.

Ces notes qu'ils connaissaient par coeur, pour avoir répété de nombreuses fois l'hymne de l'équipe de Soule du Bourbonnais-Auvergne, dont les paroles avaient été écrites par Rick.

Enfin ils purent laisser leurs voix cristallines s'élever dans le ciel clermontois, et se répandre de l'estrade vers le terrain et les tribunes...

Bien sûr, les plus jeunes écorchaient certains mots... mais leurs ainés étaient là pour les aider !

Ami, entends-tu les cris de nos supporters
Ami, entends-tu les cris sourds des paysans de nos terres
Ohé supporters, artisans, nobles et paysans, c’est la soule
Qui dans nos gradins fait crier toute la foule

Ce soir nos adversaires essuieront les larmes de défaite
Pendant que nous autres toute la nuit ferons la fête
Autour des glorieux joueurs de soule bourbonnais
Les tonneaux de vin et de bière seront mis en percée

Montez de la mine, descendez des collines supporters
Sortez vos fanions, vos maillots qui vous rendent si fiers
Ohé joueurs prenez la soule et poutrez les
Ohé les marqueurs courez vite, portez la dans leur filet

C’est nous supporters qui chantons cet air des gradins pour nos frères
La joie dans nos cœurs et la fierté de notre duché, de notre terre
Ici, y’a des duchés où les villageois ont mis en nous plein d’espoir
Ici, nous, vois-tu, nous on marque, et nous on poutre, nous on est là pour la victoire

Ici chacun sait ce qu’il veut, ce qu’il fait, quand il passe
Ami, si tu tombes, un ami sort de l’ombre et poutre à ta place
Demain dans le cœur de nos supporters plus nombreux
Sera chanté, compagnons, le chant des partisans Bourbonnais victorieux !

Ami, entends-tu les cris de nos supporters
Ami, entends-tu les cris sourds des paysans de nos terres
Oh oh oh oh oh oh oh oh

Mounira

Mounira regarda le vieillard qui gardait les tonneaux languedociens avec un grand sourire aux lèvres. Huum, elle irait le voir sans trop tarder... !
Voyant que ses coéquipiers chantaient à tout va, elle reprit le dernier air qui lui entra par les oreilles.

Dejós de ma fenèstra
I a un aucelon
Tota la nuèch canta
canta sa cançon.

Se canta que cante
Canta pas per ieu
Canta per ma mia
Qu'es al luènh de ieu.

Aquelas montanhas
Que tan nautas son
M'empachan de veire
Mas amors ont son.

Baissatz-vos montanhas
Planas, levatz-vos
Per que pòsque veire
Mas amors ont son.

Aquelas montanhas
Lèu s'abaissaràn
E mas amoretas
Se raprocharàn.

Mounira se tut et soupira. Depuis quand elle chantait des chansons sur les piafs et les montagnes ??
La jeune femme sourit, se mit en place et cria.

OCCITANIA PER TORJORN !!!!

Jules.cv

Ami, entends-tu les cris de nos supporters
Ami, entends-tu les cris sourds des paysans de nos terres
Ohé supporters, artisans, nobles et paysans, c’est la soule
Qui dans nos gradins fait crier toute la foule

Ce soir nos adversaires essuieront les larmes de défaite
Pendant que nous autres toute la nuit ferons la fête
Autour des glorieux joueurs de soule bourbonnais
Les tonneaux de vin et de bière seront mis en percée

Montez de la mine, descendez des collines supporters
Sortez vos fanions, vos maillots qui vous rendent si fiers
Ohé joueurs prenez la soule et poutrez les
Ohé les marqueurs courez vite, portez la dans leur filet

C’est nous supporters qui chantons cet air des gradins pour nos frères
La joie dans nos cœurs et la fierté de notre duché, de notre terre
Ici, y’a des duchés où les villageois ont mis en nous plein d’espoir
Ici, nous, vois-tu, nous on marque, et nous on poutre, nous on est là pour la victoire

Ici chacun sait ce qu’il veut, ce qu’il fait, quand il passe
Ami, si tu tombes, un ami sort de l’ombre et poutre à ta place
Demain dans le cœur de nos supporters plus nombreux
Sera chanté, compagnons, le chant des partisans Bourbonnais victorieux !

Ami, entends-tu les cris de nos supporters
Ami, entends-tu les cris sourds des paysans de nos terres
Oh oh oh oh oh oh oh oh [/rp]

Jules reprenait le plus fort possible, disons plus fort que les adversaires du moins, l'hymne du BA.
Il en aurait presque mal à la gorge...

A entendre les quelques mots d'Occitan, il ne pût tout de même repenser à sa ville natale, à ses jours passés dans le parc du château de Toulouse où il apprenait la soule avec ses soeurs et ses parents.
Et après avoir appris tout ça... Ce qu'il pourra leur mettre sur la poire !! Il se mit à relancer la motivation des troupes, histoire de conserver cette espèce de liesse hargneuse :

Le B-A ne titube pas ! Le B-A bat !
Quelle est notre spécialité ? Les gnons dans le lard !!
Allez les jaunes et bleuuuuuuuuuuuus !!!

Timothée

Timothée avait un bon, très bon public en l'unique personne d'Aurore, mais mieux valait être avec des petits gentils que ce garçon qui le regardait bizarrement, devait pas aimer sa magnifique voix tant pis pour lui.

Babo 'Imté' ! Blllll... Da Da... Blllllll... Ma Maaaaaaaa !!

Machi Auho ! Vi Papa et maman ! Y sont bas !

Timothée applaudit avec Aurore tout en regardant Nic et Aigue, vu que cela semblait intéresser la fillette, Timothée descendit des gradins un instant et récupéra un petit chapeau de bouffon pour Aurore, il lui mit ensuite sur la tête.

Vala ! Cé pou oi ! Cé kado !

Timothée espérait qu'Aurore apprécierait, il devait aller avec la chorale, mais il ne pouvait pas laisser Aurore, son magnifique public toute seule, Thomas n'était pas loin, mais bon, Aurore avait écouté sa chanson, et bien il chanterait des gradins pendant qu'Aurore agiterait son fanion, il ferait un super duo. Il fit un signe à Thomas qu'il vienne les rejoindre pour regarder le match tous les trois entre gens calmes et civilisé.

Nouvelle reprise de souffle une fois de plus et...
Mami, tends-tu les cis deux nous suppoters
Mami, tends-tu les cis des sous des pysans de nos terreuuuuh
Ohé suppoters, tisans, nobes et pysans, c’est la souleuuuuuh
Ki dans nous jadins fé cié toute la fouleuuuuuh

Ce soi nos avécé essuyons lé lames deux défèteuuuuuh
Pendant nouuuuuus autes toute la huit font la fêteuuuuuuuh
Autou des gloyeuuuux zoueus de soule bombonnééééé
Lé tonno des vins et des bièreuuuh seont mis au passé

Onté la mine, scendé des collié suppoters
Sotez vos fayons, vos mayots ki vous endent si fiés
Ohé zoueus penééééé la souleuuuuh et poutééééé les
Ohé les masseus coué viteuuuuh, potééééé la dans leu filet des poissooooooooons

Cé ous suppoters qui santons sept air des gadins pour nos frés
La zoie deux nos sœurs et la fiété deux note dussé, de note terre
Ici, y’a des duchés où les villageois ont mis en nous plein d’espoir
Ici, nous, toi vois, nous maque, et nous poute, on é là pou la vicoieuuuuuuuh

Ici sacun sé ke y veut, ce qu'y fé, Kan y passe
Mami, si tu booom, un mami sot de le noi et poute lé méssaaaaaaants
Main dans les sœur de nos suppoters nombeux
Seha santé, companons, le sant des pisans bombonné vicoieux

Mami, tends-tu les cis deux nous suppoters
Mami, tends-tu les cis des sous des pysans de nos terreuuuuh
Ohé suppoters, tisans, nobes et pysans, c’est la souleuuuuuh
Ki dans nous jadins fé cié toute la fouleuuuuuh

Lanfeust86

Ami, entends-tu les cris de nos supporters
Ami, entends-tu les cris sourds des paysans de nos terres
Ohé supporters, artisans, nobles et paysans, c’est la soule
Qui dans nos gradins fait crier toute la foule

Ce soir nos adversaires essuieront les larmes de défaite
Pendant que nous autres toute la nuit ferons la fête
Autour des glorieux joueurs de soule bourbonnais
Les tonneaux de vin et de bière seront mis en percée

Montez de la mine, descendez des collines supporters
Sortez vos fanions, vos maillots qui vous rendent si fiers
Ohé joueurs prenez la soule et poutrez les
Ohé les marqueurs courez vite, portez la dans leur filet

C’est nous supporters qui chantons cet air des gradins pour nos frères
La joie dans nos cœurs et la fierté de notre duché, de notre terre
Ici, y’a des duchés où les villageois ont mis en nous plein d’espoir
Ici, nous, vois-tu, nous on marque, et nous on poutre, nous on est là pour la victoire

Ici chacun sait ce qu’il veut, ce qu’il fait, quand il passe
Ami, si tu tombes, un ami sort de l’ombre et poutre à ta place
Demain dans le cœur de nos supporters plus nombreux
Sera chanté, compagnons, le chant des partisans Bourbonnais victorieux !

Ami, entends-tu les cris de nos supporters
Ami, entends-tu les cris sourds des paysans de nos terres
Oh oh oh oh oh oh oh oh [/rp]

Le Duc du Bourbonnais Auvergne repris en même temps que la chorale le chant pour supporter leur équipe. Les Languedociens étaient présent sur le terrain, le match allait sûrement bientôt commencer. Il regarda son fils chantait avec les autres enfants. Son cher fils, le seul qu'il avait à qui il essayait d'assurer un brillant avenir.

Regard ensuite vers le capitaine de l'équipe, il avait du mal à le comprendre ce capitaine, il semblait lui voué une sacrée haine pourtant il ne lui avait jamais rien fait, les gens étaient étrange...

Spock

Spock a terminé son échauffement et se présente au centre du terrain

Messires, Gentes dames, le moment que vous attendez toutes et tous est arrivé. le Bourbonnais Auverge à l'honneur d'affronter aujourd'hui l'équipe du Languedoc dans le premier match de la première Coupe du Royaume de France réservée aux équipes Comtales et Ducales.

La foule se fait entendre par des cris, des chants et des applaudissements fournis.

Maintenant, place au jeu. Voici tout d'abord la composition des équipes :

COMPOSITION

A ma droite, Le Languedoc, emmené par leur Capitaine Polchtron (Cap)

Stronghold
Polchtron (Cap)
Mounira
Mounia
Chrego
Hébus85
Bentich
Sebwood
Syjoluma
Am123
Hispahan

A ma gauche, l'équipe qui nous reçoit aujourd'huiiiiiiiiii Le Bourbonnais Auverge emmené par leur Capitaine Nictail

Nictail (Capitaine)
Aiguemarine
Ninjaturtel
Sakurahime
Pouypouy
Ptitoliv
Patrocle34
Valexan
Kenrui
Jules.cv
Clothilde

Les joueurs se placent sur le terrain

Les BA titubent :
2 1 1 1 2 1 1 1 2 1 2

Le Languedoc :
1 1 1 2 1 1 2 2 1 1 1

(Les numéros écris en Gros caractères, correspondent aux mouvements que je n'ai pas reçu à temps. Pour l'initial, ils sont considérés comme positionnés en ligne 1. Pour les tours suivants, les mouvements non reçus vaudront pour 0 soit pas de mouvement. Je rappelle aux capitaines, qu'ils ont la possibilité de m'envoyer 2 mouvements en plus du leur pour palier à d'éventuels absences)

Coupe du Royaume de France - BA vs Languedoc (20 Sept 1457) - Page 3 Bavslanguedocinit

Et c'est partiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Matthis

Matthis se tenait au côté de son oncle, il avait bien vu Aigue le regarder, il espérait simplement qu'Athalia ne se ferait pas punir, il ne fallait pas que cette bague de l'amitié fasse autant de problème quand même. Surtout que maman et puis sans doute papa qui n'était pas là étaient d'accord. Il écouta attentivement la réponse.

Nic est encore dans les vestiaires et parle tactique avec les deux ou trois autres joueurs. Il prépare le match et je ne pense pas que tu le verras avant le début. Mais tu sais quoi… Tu vas la donner cette bague de l’amitié à Athalia et si ton papa ou son papa vous fâchent, tu diras que c’est Aristote qui a voulu que tu la donnes et que c’est moi qui ai fait passé le message. D’accord ?

Matthis se frotta le menton et attendit un moment avant de répondre à son oncle, Nic n'était pas disponible et sans doute pas disponible avant le match. Mais il pouvait donner la bague, c'était tonton qui le disait... C'était compliqué.

D'accord !

Alors qu'il allait rejoindre Athalia, il resta interdit, en effet, un enfant noble arriva et se comporta bizarrement, Matthis comprit rapidement que c'était le fils du Duc, bien, Matthis ne se comportait pas bizarrement pourtant son père était bien Grand Prévôt de France, enfin, il n'aimait pas quand on le disait. Son oncle lui demanda d'aller vite rejoindre Athalia.

Allez va vite donner ta bague de l’amitié à ta princesse.

Oui oui j'y vais !

Matthis partit en courant vers Athalia, il lui montra la bague en souriant.

J'ai parlé à tonton, il a dit que ton papa il était occupé, mais que tu pouvais prendre la bague quand même et qu'il a dit qu'il nous protégerait si ton papa il était tout rouge de la colère !

Matthis tendit sa main, il n'eut pas le temps de vraiment regarder si Athalia avait prit la bague, mais le voilà qu'il devait chanter avec la chorale.

Ami, entends-tu les cris de nos supporters
Ami, entends-tu les cris sourds des paysans de nos terres
Ohé supporters, artisans, nobles et paysans, c’est la soule
Qui dans nos gradins fait crier toute la foule

Ce soir nos adversaires essuieront les larmes de défaite
Pendant que nous autres toute la nuit ferons la fête
Autour des glorieux joueurs de soule bourbonnais
Les tonneaux de vin et de bière seront mis en percée

Montez de la mine, descendez des collines supporters
Sortez vos fanions, vos maillots qui vous rendent si fiers
Ohé joueurs prenez la soule et poutrez les
Ohé les marqueurs courez vite, portez la dans leur filet

C’est nous supporters qui chantons cet air des gradins pour nos frères
La joie dans nos cœurs et la fierté de notre duché, de notre terre
Ici, y’a des duchés où les villageois ont mis en nous plein d’espoir
Ici, nous, vois-tu, nous on marque, et nous on poutre, nous on est là pour la victoire

Ici chacun sait ce qu’il veut, ce qu’il fait, quand il passe
Ami, si tu tombes, un ami sort de l’ombre et poutre à ta place
Demain dans le cœur de nos supporters plus nombreux
Sera chanté, compagnons, le chant des partisans Bourbonnais victorieux !

Ami, entends-tu les cris de nos supporters
Ami, entends-tu les cris sourds des paysans de nos terres
Oh oh oh oh oh oh oh oh

Les joueurs prenaient place, les adversaires chantaient, Matthis attendait le début du match, il irait dans les gradins ensuite rejoindre sa mère.

Kory

Korydwen gardait un oeil sur ses enfants, une Eléa qui avait retrouvé son ami Louis, un Matthis qui offrait sa bague et surtout un Timothée qui s'essayait au chant avec la petite Aurore, autrement dit, elle était tranquille jusqu'à la prochaine bêtise. Elle vit avec plaisir les enfants de Clothilde s'approcher et fut très touchée par les paroles de la grande Colombine.

Coucou tout le monde ! Coucou Elea ! Coucou Kory ! tu vas bien ? suis contente de te voir. C'était drôlement bien les vendanges chez toi !

Elle se baissa pour être à sa hauteur et lui fit une grosse bise.

Coucou Colombine ! Très bien et toi ? Prête à chanter ? Moi aussi très contente ! Et ravie de savoir que les vendanges t'ont plu ! L'année prochaine tu reviendras et je t'enverrai une invitation rien que pour toi !

Korydwen sourit à la fillette, l'équipe du Languedoc se faisait attendre quand ils arrivèrent, des chants fusèrent, Korydwen vit avec plaisir la petite chorale commencer à chanter, elle les écouta avec attention, les voix enfantines vous transportaient. Elle alla ensuite rejoindre les tribunes et les enfants d'Aigue ainsi que Timothée, le match s'annonçait prenant.

Athalia

Athalia avait attendue Matthis, fébrilement.
Puis, Elea l'avait appelée.
Elle avait donc rejoint ses petits "camarades" ...
Il était enfin de retour.
La petite fille le regarda, les yeux brillants.

J'ai parlé à tonton, il a dit que ton papa il était occupé, mais que tu pouvais prendre la bague quand même et qu'il a dit qu'il nous protégerait si ton papa il était tout rouge de la colère !

Athalia prit la bague que lui tendit Matthis, la regarda sous toutes les coutures.
Elle était vraiment magnifique.
Puis, elle la fit glisser sur son annulaire droit, et reprit l'hymne du BA comme tous les autres enfants.

Ami, entends-tu les cris de nos supporters
Ami, entends-tu les cris sourds des paysans de nos terres
Ohé supporters, artisans, nobles et paysans, c’est la soule
Qui dans nos gradins fait crier toute la foule

Ce soir nos adversaires essuieront les larmes de défaite
Pendant que nous autres toute la nuit ferons la fête
Autour des glorieux joueurs de soule bourbonnais
Les tonneaux de vin et de bière seront mis en percée

Montez de la mine, descendez des collines supporters
Sortez vos fanions, vos maillots qui vous rendent si fiers
Ohé joueurs prenez la soule et poutrez les
Ohé les marqueurs courez vite, portez la dans leur filet

C’est nous supporters qui chantons cet air des gradins pour nos frères
La joie dans nos cœurs et la fierté de notre duché, de notre terre
Ici, y’a des duchés où les villageois ont mis en nous plein d’espoir
Ici, nous, vois-tu, nous on marque, et nous on poutre, nous on est là pour la victoire

Ici chacun sait ce qu’il veut, ce qu’il fait, quand il passe
Ami, si tu tombes, un ami sort de l’ombre et poutre à ta place
Demain dans le cœur de nos supporters plus nombreux
Sera chanté, compagnons, le chant des partisans Bourbonnais victorieux !

Ami, entends-tu les cris de nos supporters
Ami, entends-tu les cris sourds des paysans de nos terres
Oh oh oh oh oh oh oh oh

Polchtron

Polchtron prit place sur le terrain, il y avait beaucoup de monde ! beaucoup de chant qui lui cassez les oreille. Il remarqua également l'omniprésence de gosse un peu partout !

Hép la ! qui sais qu'a laissé s'échapper tout les gnomes ! Dites les mioches ils sont ou vos vieux ! allez les retrouver et trainer pas dans le coin sa va saigner !

Polchtron sortit sa chopes taille XXL et attendit le coup de sifflet pour se lancer dans la bataille...

Sebwood

Sebwood n'avait rien dit jusque là et avait été des plus discret.
Il était épuisé physiquement et il conservait en son for intérieur tout un tas de râleries diverses.
Il avait confié là lourde tâche de capitaine à Polchtron, mais il avait un confiance aveugle en ce croco là.
Sebwood occupait sa place sur le terrain, et se tenait les bras croisé le regard calculateur porté sur tout ce qui se passait autour.

Polchtron a écrit:: Polchtron ... remarqua également l'omniprésence de gosse un peu partout !
Hép la ! qui sais qu'a laissé s'échapper tout les gnomes ! Dites les mioches ils sont ou vos vieux ! allez les retrouver et trainer pas dans le coin sa va saigner !

Sebwood marmonna

"Ouaip! Le BA c'est plus c'que c'était!"

Hispahan

Hispahan était un peu déboussolée, tout allait trop vite. Les chants des supporters du BA volaient d'un bout à l'autre du terrain, leurs enfants et ceux des joueurs étaient bien présents aussi et n'étaient pas les derniers à brailler. Difficile de se concentrer dans une telle cacophonie.

Elle se consolait en vidant des chopes et en pensant à ses enfants que les récents événements l'empêchaient de voir assez souvent. Elle espérait que son époux les amènerait voir ce match. Et en même temps elle redoutait un peu. Elle était encore novice dans ce sport et ne voulait pas paraitre trop nulle aux yeux de l'ancien joueur de soule qu'il était. Elle remplacerait son inexpérience par sa volonté de gagner et toute l'énergie qui l'animait, mais leurs adversaires avaient l'air coriaces.

Le cri de l'arbitre qui donnait le coup d'envoi du match la tira de sa rêverie et elle se tourna vers ses coéquipiers en hurlant.

OCCITANIA PER TORJORN !!!!

Puis elle gagna sa place.

Sakurahime

Qu'il faisait bon entendre la voix de tous les supporters du BA venus en masse pour les soutenir!!!
Il fallait dire que les supporters des BA titubent avaient fait les choses en grand! chorale d'enfant, fanfare, banderoles, et dans les tribunes, tous leurs amis, familles et quelques têtes couronnées, venues passer un bon moment de repos dans la chaleur lourde de l'ambiance survoltée régnant sur le terrain.

L'arbitre fit son entrée peu après l'équipe du Languedoc. Un moment, elle avait cru qu'ils seraient forfait, mais elle les avait vu entrer avec plaisir. Il aurait été dommage que la confrontation pour laquelle ils s'étaient tous tant entraîné n'aie pas lieu.

Ayant eu tout le loisir de s'échauffer, elle était fin prête, et rejoignit sa position au petit trop, attendant avec impatience le signal du départ.

Chrego

Ainsi donc les choses allaient finalement commencer. ça chantait de partout... Oh bien sûr pas à la gloire du Languedoc, ça non, forcément... Et des gamins qui courent partout, même Polch obligé d'en renvoyer quelques-uns vers les tribunes... Chrego avait déjà vu une équipe essayer de creuser un trou sur le terrain pour y faire un méchoui (si, si^^), et là on avait lâché les gosses qui s'en donnaient à coeur joie. M'enfin à un moment, faut bien que les joueurs y trouvent leur place aussi, nan?

Poltchtron a écrit:: Hép la ! qui sais qu'a laissé s'échapper tout les gnomes ! Dites les mioches ils sont ou vos vieux ! allez les retrouver et trainer pas dans le coin sa va saigner !

Voui Polch... On a pas idée de laisser ces pauvres petites bêtes dans l'arène, hein?

Sourire en coin...

Puis soudain un gaillard, qui s'échauffait au bord, s'approche des Capitaines . Avant que Chrego réalise que ce devait être l'arbitre - Tiens encore un que je connais pas.... ou pas encore! - celui-ci prend la parole.

Spock a écrit:: Messires, Gentes dames, le moment que vous attendez toutes et tous est arrivé. le Bourbonnais Auverge à l'honneur d'affronter aujourd'hui l'équipe du Languedoc dans le premier match de la première Coupe du Royaume de France réservée aux équipes Comtales et Ducales.

Maintenant, place au jeu.

Chrego ne se fait guère prier ni attendre pour rejoindre la place qui lui avait été assignée sur le terrain... ça commençait sérieusement à lui chauffer les oreilles, tout ce brouhaha. Et il trouvait qu'il était bigrement temps d'en découdre, oh ça oui!

Rick

L'entraîneur Rick était debout sur le banc de touche. Il regardait avec émotions les enfants qui chantaient l’hymne ducal. Avant eux, il avait repris les paroles qu’il avait écrites puis il regarda du côté de la délégation languedocienne pour connaître leurs réactions face à ce moment d’émotion à l’état pur. La voix cristalline des enfants avaient-elles réussis à adoucir les mœurs des joueurs de soule ? Et là, le jeune homme manqua de tomber à la renverse face aux commentaires qu’il entendit et aux réactions qu’il vit. Non seulement les Languedociens se permettaient d’arriver en retard au premier match de la coupe, obligeant par cela même l’arbitre à aller les chercher dans les vestiaires. Mais maintenant, ils se permettaient de critiquer le travail extraordinaire des enfants qui avaient appris les paroles de la chanson. Et pourtant, Rick savait que la chanson était loin d’être facile. Avec une attitude comme celle-ci, il arriverait un jour, où l’on irait jusqu’à siffler les hymnes nationaux lors des rencontres sportives. Le jeune homme ne pouvait en croire ni ses yeux ni ses oreilles. Lorsque la chanson fut terminée, il se décida à prendre la parole, pendant que tous les enfants regagnaient les gradins, sous les applaudissements de Rick et des autres.

Je tiens à remercier la chorale des enfants du BA qui a interprété avec brio l’hymne ducal, en l’honneur de nos invités et adversaires d’un jour. Je remercie aussi le comité des fêtes du bourbonnais pour avoir réussi à nous trouver en si peu de temps un groupe de troubadours acceptant d’accompagner les enfants lors de cette chanson. Merci aux supporters et au Duc d’avoir fait le déplacement jusque dans les gradins pour ce moment de fête. Que le match commence !

Et l’arbitre ne se fit pas attendre pour entamer le début de la rencontre. De chaque côté, rouges et bleus se plaçaient sur le terrain selon la directive de leur capitaine. Du côté des auvergnats, le capitaine Nictail avait indiqué aux dix autres joueurs où se mettre. Et quelques secondes après, Spock l’arbitre indiqua le début de la partie.

Petitrusse

Petitrusse s'installa dans les gradins pour suivre le début de la rencontre.

Il fut surpris d'entendre quelques réactions de joueurs Languedociens au sujet de la chorale des enfants.
Enfin, on ne devait pas s'arreter à ces choses là...

Le principal, c'est de voir une belle rencontre...et de montrer que le BA sait acceuillir les adversaires dans la joie et les chants.

Mounira

Mounira profita du silence des morpions pour aller boire tranquillement. La jeune femme quitta sa place et se dirigea vers le vieillard languedocien qui gradait les futs, en essayant quand même de ne pas se faire remarquée par le cap'taine. Souriante, elle salua l'homme et posa son regard sur les tonneaux.

Bonjorn Messer ! J'suis Mounira du Languedoc...
Z'avez pas un p'tit remontant pour moi ?? J'poutre mieux avec plusieurs litres d'alcool dans le ventre !

Mounira regarda l'vieillard sourire et fit de même. Elle le vit attrapper un tonneau et le mettre entre eux.
La jeune femme prit une choppe qui trainait dans le coin et la plongea dans le fut qui était assez gros. Une choppe, deux choppes, trois choppes............. Fin du tonneau... ! Mounira, dépitée, contempla le fut vide. Et le vieillard avait rien bu en plus !

Dites, z'en avez *hips* pas un autre ?? *hips*

Hips, hips....HIPS ??? Oulalala elle avait trop bu, sur que Polch' et Am allaient pas aimer.....
Baissant les yeux, la jeune femme retourna à sa place, espérant qu'on ne l'avait pas remarqué... !

Sujet: Re: Coupe du Royaume de France - BA vs Languedoc (20 Sept 1457)

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