2.8 [fin Septembre - début Octobre 1456] Les joutes de la Saint Michel - Lice

Baronne Messages : 9118 Date d'inscription : 28/04/2008

Althiof

Morkar a écrit:: Joutes du Lavardin : Deuxième Tour

Pour ce duel, nous assisterons au combat opposant :
Althiof de Marigny contre Vinkolat

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Première Lance :
Habitués des tournois, les deux adversaires nous prouvent leurs talents en brisant tout deux ensemble dans un grand fracas sans le moindre du monde bouger de leur selle respective.

Deuxième Lance :
Distrait ou moins enclin à la compétition messire Vinkolat rate son adversaire qui lui...ne le loupe pas et lui donne par là même l'occasion de financer les réparations d'une belle armure vénitienne heurtant le sol avec la chute...

Althiof de Marigny est déclaré vainqueur.

Deuxième tour... enfin. Il trépignait d'impatience, l'envie d'aller se mesure aux plus fines lances du royaume, dont il faisait partie depuis quelques temps maintenant. Il était redouté et redoutable mais en matière de joutes comme en bien d'autres choses, cela ne suffit souvent pas. Il faut un brin de détermination, d'envie et de chance. C'est ce mélange harmonieux entre force mentale et physique saupoudré d'adresse qui détermine la limite entre un vainqueur et un vaincu.

Il n'avait jamais rencontré son adversaire mais le connaissait de nom. Qu'importe il s'était préparé comme à son habitude. Korydwen l'avait aidé à remettre son armure. Et Beths avait bichonné Pégase comme elle savait si bien le faire. Enfin presuqe parce qu'elle avait été prise par le temps et qu'elle n'avait pas complètement fini de le brosser.

Il faudrait donc ne pas tomber pour qu'il soit superbe au troisième tour. La finale était encore bien loin. Lorsque le juge Minerve les appela il se présenta en bout de lice, son cheval avait été drappé des couleurs rouge sang des Cournon. On ne pouvait le manquer. Le bandeau de son épouse flottait sur son casque.

Bras baissé et il s'élance. Son adversaire semble bien, il ajuste sa lance, vise et brise. Le choc est violent les deux lancent eclatent en mille morceaux. La foule retient un cri étouffé mais il parvient à rester en selle. Pas de bruit métallique il faut faire demi tour.

Il est prêt. Plus de conviction dans le mouvement et ce sera parfait. A nouveau il brise mais seul. Son adversaire et desequilibré et chute assez lourdement dans un grands fracas. Heureusement il se relève pour le saluer.

Althiof tend sa lance à son écuyère et amie, retire son heaume et salue son adversaire. Déjà on vient lui annoncer que le prochain tour se prépare. Il n'aura pas le temps de souffler mais au moins il sera parfaitement concentré. Signe de tete vers le public pour chercher son épouse qui applaudit chaleureusement.

Baronne Messages : 9118 Date d'inscription : 28/04/2008

Althiof

Morkar a écrit:: Joutes du Lavardin : Troisième Tour

Pour ce duel, nous assisterons au combat opposant :
Carmody contre Althiof

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Première Lance :
Deux habitués des tournois et cela se vois. Première passe, tous les deux brisent.

Deuxième Lance :
On prend les même on recommence, mais cette fois ci avec une chute...heureusement sans gravité, celle de messire Althiof.

Carmody est déclaré vainqueur.

Troisième tour. Un beau tournoi jusqu'à présent où il n'avait pas rencontré énormément de difficultés. Mais son prochain adversaire serait d'un tout autre caibre. Carmody ! Ce nom lui paraissait si famillier et à la fois si étranger. Il en avait tellement entendu parler par sa chère soeur mais ne l'avait encore jamais rencontré. Enfin si surement lors de festivités ou de joutes au milieux de bon nombre d'autres convives.

Lorsqu'il fut appelé, il était déjà fin prêt, mais son adversaire l'était tout autant. Sa joute ressembla aux deux précédentes. Il brisa, son adversaire répliqua et ils purent faire admirer leur tenue en selle.

Demi tour et encore la même chose sauf que cette fois il chuta heureusement sans mal. Le tournoi était fini. Il se releva jetta son écu et retira son heaume avant de s'approcher de son adversaire.

Mes félicitations Sire Carmody et bonne chance à vous pour la fin de ce tournoi.

Lorsqu'il vit les noms des qualifiés, il sourit. Il n'y avait là que de grands jouteurs, l'expérience et l'habileté payaient nécessairement. Même si le facteur chance n'était pas negligeable, au fil des tours les surprises se faisaient plus rares.

Baronne Messages : 9118 Date d'inscription : 28/04/2008

Korydwen

Les Gradins pour la suite du tournoi.

Elle s'occupait de le préparer de l'encourager, tout en le laissant suffisamment seul pour qu'il soit dans sa bulle. Beths s'occupait de sa monture, elle sourit, cette femme devenait petit à petit son amie, une grande amitié était en train de naître entre les deux femmes, plus elle la croisait et plus elle la faisait rire, son attitude sa façon de s'exprimer, elle était vraiment unique.

Elle se dépêche de gagner les gradins et s'y installa confortablement pour une fois, personne ne l'empêchait de voir, son époux s'élança elle le regarda et le vit triompher, elle l'applaudit chaleureusement, elle était si heureuse, elle le voyait regarder vers les tribunes, l'avait il vue ? Elle ne savait pas, mais visiblement il devait retourner bientôt en lice, parce qu'il ne montait pas et attendait à côté, elle sourit, regardant la suite, toujours aussi absorbée et étonnée, les joutes la surprendrait toujours.

Le troisième tour allait commencer, son époux allait jouter, elle fixait la lice en souriant, attendant avec impatience le tour de son époux, mais alors qu'elle s'attendait à le voir gagner, après tout, il lui avait démontré par plusieurs fois qu'il était très doué, elle le vit tomber, légèrement inquiète et vue son état... Elle se redressa et fixa le lice, mais en le voyant se relever, elle sourit, cela devait aller.

Elle descendit doucement pour le rejoindre et le féliciter comme elle lui avait promis, il avait certes perdu, mais c'était son grand jouteur à elle, le jouteur de son coeur. Elle lui prit la main doucement et le regarda en souriant. Ainsi cela s'arrêtait là, pour les Cournon d'Auvergne, le baron et les vassaux avaient tous été éliminé les uns après les autres...

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