1.5 [30 aout] Finale : Champagne VS Bourbonnais- Auvergne

Baronne Messages : 9118 Date d'inscription : 28/04/2008

Arthur75

Le match arrivait à son tournant, plus que quelques mettres et ils pourraient fêter leur victoire, pourtant Rick leur cria

Kory ! Legowen ! Marie ! Arthur75 ! Méfiez-vous de Spock, il est dangereux ! Cueillez moi ce Champignon et faites en une omelette !

Il regarda dans la direction indiquée et vit ce champenois courir dans leur direction prêt à intercepter leur passe. Arthur courut alors dans sa direction mais Kory le plaqua au sol, Arthur et d'autres Auvergnats le frappèrent jusqu'au KO puis repartirent à l'attaque, la soule avait bien avancé et ce fut après un slalom de Clothilde et de legowen dans la défense champenois que le co-but de la victoire fut marqué.

ON A GAGNE!!!!!!

Il alla féliciter tous les joueurs puis partit mettre un tonneau en perce. Il en but quelques gorgées puis chanta avec tout le stade.

Ami, entends-tu les cris de nos supporters
Ami, entends-tu les cris sourds des paysans de nos terres
Ohé supporters, artisans, nobles et paysans, c’est la soule
Qui dans nos gradins fait crier toute la foule

Ce soir nos adversaires essuieront les larmes de défaite
Pendant que nous autres toute la nuit ferons la fête
Autour des glorieux joueurs de soule bourbonnais
Les tonneaux de vin et de bière seront mis en percée

Montez de la mine, descendez des collines supporters
Sortez vos fanions, vos maillots qui vous rendent si fiers
Ohé joueurs prenez la soule et poutrez les
Ohé les marqueurs courez vite, portez la dans leur filet

C’est nous supporters qui chantons cet air des gradins pour nos frères
La joie dans nos cœurs et la fierté de notre duché, de notre terre
Ici, y’a des duchés où les villageois ont mis en nous plein d’espoir
Ici, nous, vois-tu, nous on marque, et nous on poutre, nous on est là pour la victoire

Ici chacun sait ce qu’il veut, ce qu’il fait, quand il passe
Ami, si tu tombes, un ami sort de l’ombre et poutre à ta place
Demain dans le cœur de nos supporters plus nombreux
Sera chanté, compagnons, le chant des partisans Bourbonnais victorieux !

Ami, entends-tu les cris de nos supporters
Ami, entends-tu les cris sourds des paysans de nos terres
Oh oh oh oh oh oh oh oh

Ils avaient gagnés, ce premier tournoi dans l'équipe pour Arthur où il aura marqué son premier but et son premier titre avec l'équipe ducale.

Baronne Messages : 9118 Date d'inscription : 28/04/2008

Delphirus

Elle avais donner de la voix pour ce match narguant les adversaires comme elle savais bien le faire ,adversaire qui il fallait le dire avais ete redoutable tous comme le sommeil qui c'etais abbatue sur les petillants ...elle restas a genoux sur la pelouse digerant leur cuisante defaite puis se relevas gardant la tete haute ,il fallait bien des perdants dans un jeux et la bah c'etais eux ...au moins s'en sortait elle indemne c'etait deja sa ,avoir des bleus oui mais quand c'est pour gagner .haaa qu'elle etais mauvaise perdante et c'est en bougonnant qu'elle se dirigeas vers leur buvettes regardant autour d'elle felicitant les joueurs du BA qu'elle croisait cherchant du regard quelques amis ....
Elle avait soif et se preparat a noyer sa deception dans les futs qu'il restait

Baronne Messages : 9118 Date d'inscription : 28/04/2008

Arthurdayne

Ce fut par une ultime avancée groupée que les Bourbonnais Auvergnats (par pitié, épargnons nos oreilles de l'immonde BAtiens...) mirent un point, et par la même occasion un poing, final au match. Tandis que deux des leurs, son alter ego prénominal, Arthur, et leur brillante cap'taine pour cette finale, Marie, jouaient du poing pour amocher le numéro 8 adverse, Leg et Clothilde se saisirent conjointement de la soule pour ne plus la lâcher que dans l'en-but adverse.

Jolie stratégie que voilà, et joli symbole! Arthur, emporté par l'avancée, avait comme qui dirait protégé leurs arrières, histoire d'être sûr qu'un Champignon désespéré n'allait pas tenter un ultime croche-pieds pour les priver de ce but bien mérité. Et alors, quand les filles eurent définitivement clos le match, laissant en legs à leur équipe une inoubliable victoire (clos et legs, Clo et Leg! Mouhahahaha!), une joie intense vibra de part et d'autres du terrain. Les gradins vrombirent, ses équipiers sautèrent de joie, et à dire vrai, il fallut quelques bonnes secondes à Arthur pour intégrer ce qui venait de se passer.

Victoire, avait hurlé Sglurp. Oui, victoire, ils avaient gagné... Ils avaient remporté la GFC. Par leur nouveauté, par un esprit d'équipe dont il n'avait que rarement vu l'égal, ils avaient affirmé qu'ils pouvaient désormais compter au sein du petit monde de la soule. Une incroyable vague de joie lui remonta des pieds pour lui exploser à la tête. Il était rare qu'il se sente aussi réjoui, qu'il soit en mesure de ressentir un bonheur simple, sans rien pour venir le ternir. Et, fait rarissime, il se laissa aller à cette allégresse sans borne.

Il courut féliciter ses coéquipiers, sauta même dans les bras de certains, pour autant qu'il s'en souvienne, lança des tapes amicales dans le dos, et bien sûr, se permit une accolade généreuse à Clothilde, pour qui il avait toujours éprouvé un grand respect, qu'il connaissait depuis longtemps désormais, et qu'il aimait croiser régulièrement dans ce genre d'occasions, où ils partageaient leur envie de servir leur duché.

Bravo Clothilde! Une très belle fin pour un très beau match, et je suis heureux de l'avoir vécu à tes côtés!

Et sans aucune hésitation, il alla embrasser Legowen (en toute amitié, hein, panique pas, Guy...), son amie de longue date, avec qui il était heureux de partager ce moment.

Félicitations Leg! Quel but conjoint, c'était superbe! Heureux d'y avoir assisté, et que l'on fasse partie tous deux de cette belle équipe!

De ce qu'il put se rappeler, il lui sembla même qu'il avait surpris Leg en la juchant sur ses épaules, comme il le faisait avec Ili, pour faire un petit tour de stade sous les applaudissements des supporters. Mais ça, il n'en était plus trop sûr, parce que c'était quelque chose d'assez étonnant de sa part, et que la troisième mi temps avait rendu un peu flou tous ces souvenirs. Mais avec la liesse qui s'était emparée de l'équipe, allez savoir, tout est possible...

Ce qui était certain en revanche, c'est qu'ensuite, il avait couru vers l'infirmerie pour rendre visite aux blessés. Il y trouva Rick, déjà au chevet de Kory et Khory. Petite tape sur l'épaule de Rick.

Félicitations, entraîneur, sacré boulot, et sacrée récompense! Alors, comment vont nos blessés? Il vous reste encore assez d'énergie pour venir arroser ça avec nous? Si vous avez besoin de béquilles, j'suis disponible pour épauler l'un de vous.

Et doucement, pour éviter de lui causer plus de blessures, il serra la main de Khoryan. Il était heureux de faire partie de cette équipe avec lui également, heureux et fier de voir le chemin que le jeune Moulinois avait parcouru depuis ses premiers pas au sein des Bourrins, et de voir la place qu'il occupait désormais dans cette équipe ducale. Khoryan l'avait dépassé en ce qui concernait la stratégie, c'était indéniable, et Arthur était fier d'avoir été là pour le guider, de lui avoir appris les bases, et de voir à quel point Khoryan était désormais un fin tacticien, qui avait fait son entrée dans la cour des très grands au sein du petit monde de la soule.

En attendant que les blessés décident s'ils prenaient le risque d'aller fêter la victoire avec eux, Arthur s'assit sur un banc et souffla un bon coup. C'est que ça fatiguait, les tours de stade avec quelqu'un sur les épaules... Mais alors... il l'avait fait, ou pas?

Baronne Messages : 9118 Date d'inscription : 28/04/2008

Carmen_esmee.

Carmen n'était pas très concentrée sur la partie cette fois ci, Sa cousine Kory jouait à ses côtés, cette dernière fut plus que mal menée ! Carmen ne put que regarder impuissante la scène... Kory reçut de nombreux coups au ventre...
La jeune joueuse serrait les dents, elle se promit de tout faire pour venger sa cousine de n'importe quelle manière ! Elle n'en voulait pas à ses adversaire mais à son adversaire de tous les jours qui n'est autre que Rick son cousin ! Rick avait dépassé les bornes, obligeant sa soeur a rejoindre l'équipe dans une tenu sauf adéquat !

La jolie brune lui envoya un regard qui en disait long sur les sentiments qu'elle éprouvait à cet instant, Colère, Rage de vaincre, pour que le match s'achève et qu'elle puisse filer au chevet de sa cousine !

Elle fit ce qu'on lui demanda, c'est a dire avancer tout simplement, elle se concentra sur la soule, Elle avançait de plus en plus vers l'en-but champenois alors que deux joueurs manquaient à leur rang.
C'est alors que Legowen et Clothilde amenèrent la soule ensemble jusqu'au Buuuut ! Une belle image de l'équipe des B.A. Titubent !

Carmen applaudit ses coéquipiers, elle les observait sauter, crier, chanter, féliciter l’entraîneur... Mais elle ne participa pas à leur élan de joie, même si au fond elle était fière d'avoir vécu cela... Elle se contenta de passer tout près de Rick, ne manquant pas de le foudroyer une fois de plus du regard... Mais ce regard changea rapidement alors que leurs épaules se frôlaient, Ses yeux exprimer de la tristesse... mouillés par l'émotion... Et c'est sans un mot qu'elle disparu sous la tente de l'infirmerie derrière Rick.

« Je déclare… Le bourbonnais-Auverge vainqueur de la 6 GFC dans le domaine de la Soule !
Bravo à tous !»

Bravo Rick, mission accomplie, souffla t-elle...

Sous la tente, elle prit la main de sa cousine, questionnant la jeune femme qui lui prodiguait ses soins, Kory s'en remettrait surement... Mais Carmen ne pardonnera sans doute jamais à Rick...
Les larmes aux yeux, elle se pencha au dessus de sa cousine, caressant le front de celle ci.

Je suis désolée Kory, je ne peux plus rester... s'en est trop... J'ai fais tout ce qu'il m'a dit et sa confiance en moi ne grandit pas... Le même sang Hispanique coule dans nos veines mais même cela ne me rapproche pas de lui. Seule toi me comprends.. et voilà ce qu'il t'a fait subir... Je pars... C'est décidé... Rien ne me fera changer d'avis ni revenir.

Elle attrapa un linge humide et aida l'infirmière à débarbouiller le doux visage de sa cousine. Celle ci se permit un petit commentaire sur le monologue que tenait Carmen.

Elle ne vous entend pas, elle doit se reposer... Voulez vous que je lui fasse part de ce que vous venez de dire ?

Non, je sais qu'elle m'entend, qu'elle me comprend et je suis sure qu'elle comprendra les motifs de mon départ, je vous remercie, prenez soin d'elle s'il vous plait, Vous ne trouverez pas de Dame plus généreuse que celle ci.

Carmen trouvait en Kory la tendresse d'une mère qu'elle n'avait pas ce jour... Elle déposa un baiser sur le front de sa cousine... Adieu Kory...

C'est sur ces derniers mots que Carmen quitta l'infirmerie mais aussi le terrain, partant en catimini... seule une ombre blanche persista quelques secondes à l'horizon.

Baronne Messages : 9118 Date d'inscription : 28/04/2008

Legowen

Vous êtes prêts et prêtes à défendre votre duché jusqu’à vous retrouver à l’infirmerie ? ……………………………………Vous êtes prêts pour la victoire ?

Oui ils l’étaient , en plus elle connaissait déjà le chemin de l’infirmerie mais elle espérait bien cette fois ci ne pas y prendre racine

Quant à être prêts pour la victoire, il suffisait de les voir , en ligne , yeux étincelants , corps en avant et ce fut un rouleau compresseur (comment ça existait pas ? ah bon , z ‘êtes sur ? ) , alors une déferlante , un torrent tumultueux qui déboula sur le mur Champenois et s’ écrasa comme un seul homme, femme, sur un point précis . C’est bien connu , pour fracasser , faut taper au même endroit et ils s’en privèrent pas les BA-titubent , écoutant religieusement leur diacre entraineur

Kory ! Legowen ! Marie ! Arthur75 ! Méfiez-vous de Spock, il est dangereux ! Cueillez moi ce Champignon et faites en une omelette !

Pifff Pafffff , Vlingggg , ba da boummmmmmmm et un champignon en moins, un

D’autant qu’ils étaient aussi vigoureusement encouragés , à réaliser une omelette surtout elle

C'est ça mon coeur !!!! Vas-y, fais-en de la charpie !!!

C’est fou comme les douces paroles d’un mari aimant peuvent avoir d’impact quand même car Leg y mit tout son cœur comme ses équipiers et la bulle ne put qu’exploser et se retrouva ,charpie, omelette
(prière de barrer la mention inutile selon les choix de chacun )
KO

KO pour l’un mais Ko pour leurs deux amis , les deux Kory et Khory , alors que l’un avait fait une percée vertigineuse dans le camp adverse profitant de l’instant de flottement du chaos du 3 humm non, ko, quoique pour lui ....., courant avec la soule sous le bras puis la propulsant d’un coup de pied de maitre avant de tomber sous un déluge champenois
Déluge qui se partagea pour s’attaquer à Kory, ça va pas non ? en plus à 4 contre une femme ?
Leg frémit voyant son amie disparaître sous une avalanche de bulles , qui malheureusement n’explosèrent pas à son contact, heureusement les soigneurs furent vite là appelés par Clo

Et ce fut Clo aussi qui les galvanisa , voyant leurs amis à terre

à l'attaaaaaaaaaaaaaque !!!!!!

oh que oui, à l’attaque, il ne serait pas dit que le sacrifice de Khory pour envoyer la soule presqu ‘au but champenois, que celui de Kory, qui retint l’intention des bulles serait vain
un rapide coup d’œil vers Arthur, oui il allait bien , c’ est qu’elle prenait son rôle de garde du corps au sérieux , et la jeune femme se précipita à la suite de Clo
Elles avaient un compte à régler et la facture était lourde , évitant les coups de pieds en traitre , l zigzaguant entre les joueurs de l’équipe adverse qui ….. qui ….. mais qui s’ enfuyaient pour certains ou semblaient être changés en statue de sel :shock:
Bah fallait aussi les éviter , les deux joueuses tenant précieusement la soule qu’elles avaient ramassée se précipitaient vers le but, y arriveraient -elles ?

Ahh tention à gauche, oui voilà , attends y en un autre en face , on passe dessus ? pas l’temps, aller on bifurque, arfff , sur ta droite et là

Le but , en face , droit devant , dégagé juste pour elles ,image oh combien sublime

ALLELUIAAAAAAAAA

serrant davantage la vessie de peau, sentant Clo faire de même, calquant son bond sur le sien , un élan, un dernier effort et ……………..

GOALLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLL

VICTOIREEEEEEEEEEEEEEEEEEE

ON A GAGNEEEEEEEEEEEEEEEEEEE

Leg réalisa alors, sauta en l’air avant de se retrouver dans les bras de Clo qu’ elle embrassa

On l’ a mise Clo , on l’a mise, on a vengé Kory et Khory

Puis les deux femmes furent happées par leurs coéquipiers et les embrassades plurent , Sglurp , Arthur , Arthur ( non je bégaie pas ^^)

Moi aussi Arthur , je suis ravie que nous soyons tous les deux dans l’équipe , que tous nous soyons aussi solidaires

Et puis la jeune femme vit tout à coup des détails du terrain qu’elle n’avait jamais vu, étant trop basse

AHHHHHHHHHHHHHHHH

ainsi c’ était ça être géant car son ami l’avait juché sur ses épaules , la faisant faire le tour du stade jusqu’au gradins où les Auvergants donnaient de la voix tandis qu’elle leur répondait en faisant de grands signes de la dextre, l’autre occupée à se cramponner aux cheveux d’Arthur

Avant qu’ un cyclone géant la prenne dans ses bras, Arthur la passant à Guy d’une passe , hummmm délicate ?
Géant qui la fit tourbillonner comme il savait si bien le faire

Un cri, un rire et ………….un baiser

La tête un peu tourbillonnante Leg , et la troisième mi temps n’ avait même pas commencé ^^, et c’est main dans la main que le couple alla à l’infirmerie pour prendre des nouvelles de leurs amis , retrouvant ainsi certains de l’équipe groupés autour des deux blessés et de leur entraineur

Merci Rick , bravo pour ce match , oui bravo à tous

Près d’eux , Arthur assis, semblait récupérer , du match ou de la victoire , elle était si lourde que ça ? ^^

Baronne Messages : 9118 Date d'inscription : 28/04/2008

Korydwen

Soigneur ? Seigneur ? Oui c'est lui !! Seigneur où suis-je ? C'est tout beau autour de moi ? C'est ça le paradis ? ... Douleur violente, grimace, tortillement d'une dame sur un terrain de soule... Mais soudain, une immense douceur, une main qui se pose sur la sienne, instinctivement ses pensées se tournent vers son époux ? Hum non, ce n'était pas la même taille de main, celle d'Al étaient... Beaucoup plus grosse, beaucoup moins douce, des mains fines ? Douces ? Des mains d'une femme, mais qui ? Quelle femme ? Une amie sincère, une amie à qui elle tient beaucoup... Une voix, une douce voix qui l'attire, une voix qui la ramène sur la Terre et lui fait guider toute cette douceur, tout ce paradis qui l'espace d'un instant était devenu son refuge ? D'ailleurs Seigneur le Tout Puissant ne semblait pas contre, il ne tenait pas à la garder, pas fait assez sur la Terre ?

Kory ! ma Kory ! ah non pas encore ! tu vois, tu es une adversaire redoutable pour qu'ils te mettent toujours KO... pfffff... quatre contre une... Bande de lâches !!

Et dans la tête de Kory, elle souriait, les yeux clos, l'imagination faisant le reste... Il était encore trop dur d'ouvrir ses lourdes paupières, mais elle imaginait bien la colère de cette amie très chère... Enfin, au fond d'elle, elle préférait être ici plutôt que Clothilde, ne serait-ce que pour le petit fruit qu'elle portait en son sein. Un doux sourire sur le visage de la dame.

Ma belle les secours arrivent... et je peux te dire une chose : On va le marquer ce but, crois-moi !!
Et Al sera fier de toi lorsqu'il apprendra combien tu t'es battue à nouveau en cette finale !

Les secours ? Où qu'ils sont ceux-là ? Un peu lent quand même ! Enfin pas grave, elle peut toujours attendre, la "malade" cassée de partout... Mais bien vite elle est transportée sous la bonne tente, pourquoi toujours se blesser à la soule et pratiquement jamais aux joutes ? Enfin nan, mauvais exemple, son époux l'avait blessé à des joutes une fois et une dame aussi, l'épaule... Enfin voilà, la pauvre robe fut retirer, des draps tout autour de sa paillasse, cela s'activait, tout allait bien vite, elle ne comprenait pas réellement ce qu'il se passait, des odeurs, des lotions, des bandages ? Pas de blessures, pas de sang, enfin elle n'avait rien sentit de tel !! Et puis des sels, des sels pour la réveiller, mais qu'est-ce qu'ils lui voulaient ? La robe remis, elle se sentait déjà plus à l'aise, mais voilà qu'il écrivait le médecin et qu'est-ce qu'il disait ? Elle avait vaguement cru comprendre qu'elle devrait rester tranquille jusqu'au 22 septembre ? Pourquoi jusqu'au 22 ? Et pas avant ou après ? Et voilà l'entraineur qui arrive.

Kory et Khory ! Félicitations pour ce match ! Vous avez réussi à attirer les adversaires et à nous permettre de remporter la victoire ! Nous avons gagné grâce à votre courage et votre sacrifice ! Vous croyez que vous pouvez vous lever pour assister à la troisième mi-temps ?

Qu'est-ce qu'il raconte ? L'a pas vue l'état dans lequel est sa soeur, difficile de se lever ? L'a même pas les yeux ouverts et l'on est encore moins sur qu'elle entende... Pas de réponses, rien, il devrait se contenter de cela... Puis un autre Arthur ? Elle avait cru reconnaître sa voix, un simple sourire, elle ne risquait pas d'être en état, mais grande fête en BA serait sans doute donnée ? Mais voilà Carmen qui arrivait, elle sentait de la tristesse dans la voix de sa cousine, sa petite cousine, cette damoiselle qu'elle aimait comme sa propre fille, cette jeune damoiselle qu'elle avait recueilli à sa sortie du couvent, qu'elle avait aidé du mieux qu'elle le pouvait, la traitant comme sa fille... Des caresses, elle la sent mal, triste... Et ses paroles confirmèrent...

Je suis désolée Kory, je ne peux plus rester... s'en est trop... J'ai fais tout ce qu'il m'a dit et sa confiance en moi ne grandit pas... Le même sang Hispanique coule dans nos veines mais même cela ne me rapproche pas de lui. Seule toi me comprends.. et voilà ce qu'il t'a fait subir... Je pars... C'est décidé... Rien ne me fera changer d'avis ni revenir.

Elle la comprenait... Korydwen n'avait toujours pas compris quelle mouche avait piqué Rick, le fait d'être chef de famille lui avait retourné la tête, parfois elle ne le reconnaissait plus... Enfin pour Alexandre c'était "légitime" même si elle avait trouvé cela égoïste de sa part. Pour Carmen, elle ne comprenait pas, ne serait-ce que par respect pour leur cousine Eldarwenn disparu, que penserait Elda de ce qu'il allait faire vivre à sa fille, elle qui avait fuit sa famille, fuit un mariage et beaucoup d'autres choses, voilà que Rick allait faire la même chose de Carmen... Elle annonçait son départ, Korydwen ne pouvait rien faire pour la retenir, elle savait la damoiselle têtue comme elle, elle se contenta de simplement sourire...

Non, je sais qu'elle m'entend, qu'elle me comprend et je suis sure qu'elle comprendra les motifs de mon départ, je vous remercie, prenez soin d'elle s'il vous plait, Vous ne trouverez pas de Dame plus généreuse que celle ci.

Elle laissa sa cousine terminer, une infirmière lui répondit et Korydwen dans sa tête se mit à rire de la situation, la lumière commençait à titiller les yeux encore clos... Elle savait qu'elle aurait bientôt des nouvelles, Carmen entretenait une rélation épistolaire avec son fils Matthis, elle pourrait lui donner des nouvelles par ce biais là, par Matthis et Matthis lui racontait, elle le savait... Elle voulait aider Carmen tout simplement... Au bout d'un long moment... elle finit par ouvrir les yeux, elle se redressa sur sa paillasse... Elle allait bientôt rentrer chez elle et retrouver son époux, elle avait plusieurs choses à remettre en ordre...

Baronne Messages : 9118 Date d'inscription : 28/04/2008

Guy_kdr

La machine était décidément bien huilée. Dans un ultime sursaut, les Champi mirent fin à l'épopée fantastique de Khory avant de s'acharner sur Kory...Il n'en fallait pas moins pour que les Bourbonnais Auvergnats laissent de coté leur dernière once de pitié envers leurs adversaires. Plusieurs se mirent à crier de rage et de détermination.
Cette offensive serait la dernière, quoi qu'il en coûte. L'entraîneur ducal lança un dernier ordre, et deux joueuses s'élancèrent ensemble dans l'ouverture béante de la défense Champignonesque.
La première était Clo. La seconde...numéro...ah !! OUIIIII VAS-Y !!!

Chose peu commune dans le monde de la soule, mais au combien révélatrice de l'esprit de cette équipe, les deux femmes s'emparèrent de la soule ensemble, la protégeant de leurs deux corps. N'y perdant rien de leur agilité, elles esquivèrent les derniers défenseurs, semblant communiquer afin de bouger de concert. Un exercice difficile, d'aucuns l'auraient même qualifié de risqué (trop dommage de laisser tomber la soule à ce stade), mais Aristote du se satisfaire du beau geste, de l'élan d'amitié, car elles tinrent fermement la soule jusqu'au passage de la ligne d'embut, suivies de près par toute l'équipe qui venait de faire son chemin à travers les cadavres de Champenois sclérosés.

Le Sénéchal mis une bonne seconde à réagir et à comprendre que sa femme venait de co-marquer. S'il avait tournée la tête sur sa droite non loin dans la tribune du BA, il aurait constaté que le Durnik de Clothilde avait réagit plus vite et sautait déjà dans tous les sens.

Mais, concentré sur sa propre fierté, il saisit son camarade de chant le plus proche (désolé pour ces pauvres petits chanteurs de chorale, il leur fait des misères je sais.... :roll: ) et le souleva de terre comme un trophée tout en hurlant :

C'EST MA FEEEEEEEEEEEEEEMME !!!!! ELLE A MARQUE !!!! ELLE A MARQUEEEEEEEEEEEEEEEE !!!! AHAHAHA.

Il croisa le regards surpris (voire réprobateurs) de certaines personnes autour de Durnik. Compris, puis sourit.

Non non, l'autre ! ;)

Puis, toujours secouant le gosse comme un prunier.

VICTOIIIIIIIRE !!!!!! VICTOIRE !!!! On a gagné Petit !!! Tu te rends compte ?!!

Le dit "Petit" ne semblait pas loin de dégobiller son petit dej' sur le Thiernois mais se retenait vraisemblablement quelques secondes supplémentaires, par pure politesse.
Levant un sourcil, le colosse préféra le reposer à terre avec précaution.
Il fit l'accolade à ses camarades supporters, tandis qu'un bruit suspect de "don de petit déjeuner aux poulaines de mon petit voisin" se faisait entendre dans son dos. Peu désireux de confirmer ses doutes, il descendit sans se retourner les marches du stade en direction de la pelouse, où Leg faisait un tour d'honneur sur les épaules d'Arthur, tout en balançant de ci de là des "c'est ma femme !!" et des "mon épouse, elle a marqué !". Décidément ce mariage n'avait rien fait de bon à son cerveau ^^.

Arrivé en bas, il joua rapidement des coudes (enfin des hanches) pour se frayer un chemin, et commença à féliciter tous les joueurs Auvergnats qu'il croisait.

Formidables ! Vous avez été Magnifiques ! Une véritable leçon de foo...soule !

Puis le cortège principal se rapprocha de son emplacement, et son ami Moulinois lui envoya sa femme dans les bras d'une passe millimétrée.
Il remercia Arthur d'un clin d'oeil amical, porta Legowen dans les airs avant de l'embrasser.

Ce but à deux, un grand moment !
Viens allons soutenir nos blessés.

Ensuite il faudrait boire et fêter ça. Et payer un verre à ces pauvres Champenois qui s'étaient fort bien battus (les 10 premières minutes du match :lol: ).

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