Rue de l'Escarnais, le Dispensaire.

Mathilde

Mathilde regardait tout ce petit monde arriver, elle n'était pas très à l'aise sa timidité prenant rapidement le dessus. Elle sourit à Laurentide, le fameux artiste qui avait fabriqué l'enseigne du Dispensaire.

Un homme avec deux jeunes enfants descendit. Peut-être l'époux de Dame Korydwen, Mathilde savait que sa patronne avait deux jeunes enfants. Elle sourit à la petite fille qui passa juste à côté d'elle.

"Bonjour messire. Enchanté de faire votre connaissance alors. Votre épouse m'a engagé pour l'aider au Dispensaire au côté de Dame Tiadriel et de Messire Tombal."

Elle le salua en inclinant légèrement la tête, puis une autre Dame arriva. Mathilde ne la connaissait pas.

"Bonsoir Dame, je me présente Mathilde je travaille ici au côté de Dame Korydwen, je l'aide."

Puis voyant que la Dame avait les bras chargé.

"Si vous voulez déposer vos pains et chocolats, je peux faire une petite place sur la table."

Joignant le geste à la parole, Mathilde dégagea un bout de table pour la Dame. Elle espérait que sa patronne arriverait rapidement.

Laurentide

Laurentide salua Al et Gypsie déjà en grande conversation tout en jetant des coups d oeil vers le buffet
Madame Mathilde, votre buffet est magnifique, vraiment!

Korydwen

De retour de Clermont où elle avait tout de même réussi à donner un cours...Potable. Si ces élèves avaient appris quelque chose, ça aurait été une bonne chose. Elle espérait que sa belle-soeur n'aurait pas à se plaindre du cours.

Elle arriva devant sa maison, y laissa son cheval, passa une belle robe rouge et prit la direction du Dispensaire. Elle traîna un peu en chemin, fatiguée par sa dure journée de cours...Que c'était dure d'écouter des élèves lire et traduire un texte...

Elle poussa la porte et se dirigea vers la grande salle. Une Eléa lui fonça dessus.

Mamaaaaaaaaaaaaaaan !

Coucou ma puce !

Elle s'abaissa à son niveau et la prit dans ses bras, un gros câlin et Korydwen se dirigea vers la grande pièce. Il y avait déjà un peu de monde.

Bonsoir tout le monde ! Ravie de vous voir tous ici pour l'inauguration et l'ouverture du Dispensaire !

Elle s'approcha de Mathilde.

Un grand merci à vous Mathilde. Merci pour le banquet.

Elle se dirigea ensuite vers son époux, elle l'embrassa tendrement.

Bonsoir mon chéri, bien dormi ?

Elle caressa doucement le visage de son fils.

Coucou petit bonhomme !

Elle posa sa fille par terre et souffla un grand coup...Un peu fatiguée de ses aller-retours...

Ninjaturtel

Chez Hervé au début encore

Discussion tranquille, courtoise, avec Hervé, on parle de plante, de remèdes, de comment les utilisé bref les trucs de connaisseur.
A coté de ca on a Clélie qui n’en pige pas une, qui a des maux d’estomac et qui se tortille de tout partout en attendant avec hâte qu’on dégage.

Ninja demande un local, Hervé lui répond le dispensaire et Clélie prend immédiatement la parole pour souligné a quel point cet endroit parait super pour elle.

Un peu étonné de sa réaction, il répond tranquillement :

Euh, oui oui j’aurai surement tout ce dont j’ai besoin.
C’est même très bien, on va y allez.

Sa phrase finit Clélie attend pas, elle est pressée de partir d’ici et va saluer Hervé.
Elle finit les politesses puis regarde Ninja l’air insistant et faisant des signes de tête montrant la sortie, bref elle veut partir.

Petit sourire de Ninja, c’est qu’elle est vraiment pressé de partir la Clélie, en même temps elle a vraiment une petite mine, il va pas lui faire endurer ca plus longtemps et va réglé son problème au plus vite.

Il récupère les plantes et voit que Clélie dit déjà au revoir a Hervé, c’est qu’elle est rapide ce soir dit donc.
Le temps de le salué également qu’elle lui agrippe le bras et se met à le sortir. Perdant un peu l’équilibre il sort en sautillant sur une jambe et est à deux doigts de lécher le sol.
Un regard grognon vers Clélie qui s’est mise a lui demandé de sortir, et à le sortir comme si ils étaient mari et femme et qu’il n’avait pas d’autre solution.

La bouche ouverte pour commencé a rouspété qu’on entend un grand :


Aaaaaaaah ! Enfin !

Allez, ne traînons pas et trouvons ce dispensaire. La rue n'est pas très longue, on devrait y être rapidement.

Hé hé hé, ca le démangeait de sortir devant tout ce qui s’était produit un « oui mon amour » mais ca ne pouvait que lui porter préjudice, et puis la taquiné dans cet état équivaudrait a 99% de chance de mourir, autant les laisser le plus bas possible.
Il répondit tout de même :

Oui chef, si vous voulez je pars en éclaireur et des que je trouve la grotte ou on peut trouver refuge je viens vous chercher.

Plaisanterie tout en marchant, il arrivait en fait assez vite devant le dispensaire.
La chef prit encore une fois la parole, décidemment les femmes, quand elles vont mal vous avez intérêt à les satisfaire, ah la la qu’est ce que ca lui manque ca… Va falloir qu’il la retrouve la sienne…

Pas le temps de rêvassé, il est à nouveau poussé vers la porte. Fallait qu’il entre et pouvait pas faire autrement. Il pousse la porte puis passe une tête bloquant Clélie dehors.

Bonjourrrrrrrrr.

Devant Clélie qui est insistante a le faire entrer il cède sous la pression et entre en demie criant

Au secourrrrrrrrr, je suis blessééééééééééé.

A l’aideeeeeeeeeeeeee.

Althiof

Althiof sourit à Gypsie.

Bonne soirée Gypsie, rentre bien. On passera dans la semaine alors pour chercher ce chiot. A bientôt.

Puis il vit Kory.

Bien ma chérie, très bien mê...

Mais ils furent coupés par des cris qui venaient du dehors. Le dispensaire allait servir plus vite que prévu. Visiblement cela semblait urgent. Déjà ils se dirigeaient tous vers l'entrée pour voir de quoi il s'agissait.

Korydwen

Alors qu'elle écoutait son époux répondre, un bruit se fit entendre dans l'entrée. D'abord un bruit de porte qui s'ouvre, elle haussa les épaules certainement un villageois venu se joindre à eux.

Bonjourrrrrrrrr.

Puis une voix, rien d'anormal jusque là, mais soudain un cris, plus étrange, plus effrayant.

Au secourrrrrrrrr, je suis blessééééééééééé.

A l’aideeeeeeeeeeeeee.

Elle en oublia ce qu'elle faisait et se précipita vers l'entrée suivit de la plupart des personnes présentes. Eléa se glissa entre les jambes des adultes et s'arrêta juste devant le messire. Une Dame attendait derrière lui. Elle recula, elle ne les connaissait pas et semblait impressionner. Elle appela sa mère en hurlant.

Mamaaaaaaaan ! Le messire l'a bobo ! Faut le soigner ! Il a c'ié !

Korydwen s'approcha et posa une main sur l'épaule de sa fille, elle lui dit doucement.

Eléa tu vas retourner dans la salle avec le banquet. Mathilde va t'accompagner.

Elle regarda sa fille s'éloigner en compagnie de Mathilde puis regarda l'homme. Elle l'avait déjà croisé plusieurs fois...Mais elle ne se souvenait plus de son nom. Elle le regarda de la tête au pied, cherchant une tâche de sang...Si il était blessé il devait y avoir du sang quelque part...Mais rien...Elle ne s'y attendait pas et était assez lente...Pas facile lorsque l'on avait passé une journée à cheval...Il fallait se ressaisir pas faire mauvaise figure dès l'ouverture du Dispensaire !

Bonjour...Blessé ? Hum...Mais où ? Parce qu'à première vue...Vous n'avez rien, enfin du moins pas de tâche de sang...Et vous semblez tenir sur vos jambes...Mais bon...Une blessure pouvant être dissimuler...

Est-ce que deux personnes ici présentes voudraient bien accompagner Messire le blesser dans une des chambres afin qu'il puisse être soigner !!

Elle retira son regard de l'homme, ne le trouvant pas en si mauvaise forme, si c'était une blague, elle était bien mauvaise. Puis elle aperçu une Dame derrière lui.

Bonjour Ma Dame. Vous accompagnez Messire le blessé ? Vous savez ce qu'il s'est passé...Pour qu'il hurle ainsi ? Hum...Je suis Korydwen propriétaire de ce Dispensaire...Mais pas vraiment médecin...

Pendant que l'homme était entre de bonnes mains, enfin du moins elle l'espérait, elle tâcha de se renseigner sur ce qui c'était passé auprès de la Dame.

Clélie

[à l'entrée du dispensaire - aimerait désespérément se fondre dans le décor]

Mais pourquoi avait-il fait ça ? Hein ! Qu'avait-elle fait, elle, pour mériter ça ?
Il n'avaient pas passé la porte que Ninja si mit à hurler de douleur. Bon d'accord, elle lui avait écrasé le pied alors qu'il passait devant elle pour entrer, mais tout de même ! De là à hurler à la mort ... Que les hommes étaient douillets !

Bien évidemment, toute chance de pénétrer dans les lieux de façon discrète et civilisée était perdue à présent et sitôt le cri poussé, Clélie vit bon nombre de personnes se ruer dans le couloir qui menait à la porte. D'un air de profond désarroi, la jeune femme se frappa le front de la main, jetant un regard noir de reproches à Ninja et lui lançant aussitôt des paroles acerbes.

Oh ! ça va ! tes orteils s'en remettront ... je te rappelle que nous sommes là pour moi ...

Clélie n'avait pas fini sa phrase qu'un cri fluet mais sonore de fillette résonna dans les lieux.

Mamaaaaaaaan ! Le messire l'a bobo ! Faut le soigner ! Il a c'ié !

Presque aussitôt une femme se présentait à eux, regard inquiet sur le médecin douillet.

Bonjour...Blessé ? Hum...Mais où ? Parce qu'à première vue...Vous n'avez rien, enfin du moins pas de tâche de sang...Et vous semblez tenir sur vos jambes...Mais bon...Une blessure pouvant être dissimuler...

Est-ce que deux personnes ici présentes voudraient bien accompagner Messire le blesser dans une des chambres afin qu'il puisse être soigner !!

Ouh là ! y a comme qui dirait quiproquo là !
N'avez-vous jamais eu cette impression étrange de vivre des événements, d'en être le centre même mais de ne pouvoir, rien en maîtriser, de ne pouvoir intervenir, comme cloués par une force oculte ?
C'est à peu près ce qui se passait pour Clélie depuis qu'elle avait eu le malheur de mettre le pied chez l'herboriste fou. Là encore, elle n'eut pas même le temps, ou le réflexe, de réagir que déjà on se précipitait pour prendre en charge le fameux blessé. Pour le coup, elle lui aurait bien broyé l'autre pied !

La dame, toutefois, avait l'accuité suffisamment développée pour s'interroger sur la réalité des blessures de Ninja et interrogea Clélie.

Bonjour Ma Dame. Vous accompagnez Messire le blessé ? Vous savez ce qu'il s'est passé...Pour qu'il hurle ainsi ? Hum...Je suis Korydwen propriétaire de ce Dispensaire...Mais pas vraiment médecin...

Lui ? blessé ? répondit Clélie en montrant Ninja du doigt. Non, pas du tout ... tout au plus aura-t-il un petit hématome sur le gros orteil. On va pas en faire un fromage, hein !

S'apercevant qu'elle n'avait pas même eu le temps de se présenter, elle rectifia dans l'instant ce manquement, laissant Ninja à ses jérémiades.

Pardonnez mon manque de convenance, je ne me suis pas présentée ... Dame Clélie. Je suis de passage dans votre ville ... Sieur Ninjaturtel, qui m'accompagne, m'a emmenée chez vous pour m'osculter, il me trouve une petite mine ... Je vous ferai grâce des raisons exactes qui nous ont amenés dans votre dispensaire, mais je tiens tout de même à vous dire de vous méfier du vieux fou qui tient une herboristerie à l'autre bout de la rue ... Enfin, trève de bavardages ... Il serait sans doute mieux que vous voyiez avec le docteur Ninjaturtel afin de nous permettre d'emprunter votre local pour cette consultation ...

Clélie tendit l'oreille et regarda un peu mieux autour d'elle. Des bruits de voix venaient d'une pièce, du monde circulait dans les lieux.

Je vois en tout cas que votre dispensaire est fort fréquenté, vous ne devez pas chômer.

Ninjaturtel

A l'entrée du dispensaire, avant que tout le monde commence a courir...


Mise en situation, qu'est ce qui a bien pu se passer.

Alors que Clélie et Ninja commence a entrer dans le dispensaire, ou plutôt que Clélie n'arrête pas de pousser Ninja, celui réplique par un blocage, il n'entrera pas en force et pis c'est tout !

Seulement la méchante elle en a rien a faire, elle force le poussage en lui écrasant le pied, le mettant alors sur un seul pied. Elle en profite pour continué la poussette et le voila partit la tête la première sur le mur.

Duel remporté par... Ninja qui n'a même pas la tête cassé !
Les yeux tournent tout seul certes, mais il a pas de fissure ni rien... Bon ok le mur non plus, la deuxième manche aura lieu une autre fois, autre chose a faire pour l'instant.

Il se retourne alors vers Clélie, l'heure de la vengeance avait sonné, et ça allait mal finir. Le temps de reprendre connaissance, un crie derrière lui se fit entendre. Une petite appelé sa mère...
Crie perçant, les tympans en prenne un coup.

"Décidemment c'est pas ma journée, la prochaine fois j'évite Clélie ça c'est sur !"

Il se redresse, reprend calmement ses esprits et la une autre personne arrive. Elle lui parle de tache de sang, de blessure caché, qu'il est dispensé d'il ne sait pas quoi, qu'il n'a pas l'air d'être un médecin... Pouarf, ça se mélange dans sa tête. Qu'est ce qu'elle a dit la ?

Réfléchir, analyser, étudier, pas le temps, Clélie renchaine par dessus.
En tout cas il se relève, fait mine d'allez super bien. Faut qu'il soit présentable le Ninja. Clélie a l'air de raconter ceux pour quoi ils étaient venu, a savoir une oscultation sur le sujet répondant au nom de Clélie.
Bah c'est bien, il aurait moins a parler, pour l'instant pas trop envie d'ailleurs. En tout cas des qu'elles ont finit il leve la main et dit d'une petite voix :

Excusez moi de vous dérangez mais tout d'abord une personne blessé ne saigne pas nécessairement. Je peux m'être déboité l'épaule et vous comprendrez aisément la douleur.
Une jambe cassé de moult possibilité ou tant d'autre maux dont le sang n'est pas forcement significatif de blessure.

Ensuite je me permet de me presenté. Messire Ninjaturtel, humble Doyen du duché du Bourbon Auvergne, et bien sur son meilleur médecin dit il avec un sourire.

Il avait fait le plus gros morceau, rester plus qu'a conclure.

Je m'excuse de cette entrée, mais la dame ici présente, celle avec le teint palot ne se sentait pas bien, je lui ai donc proposé de l'osculter et arriver a la porte elle a perdu l'équilibre et s'est rattrapé a moi. N'etant pas préparé j'ai foncé la tête la première dans votre charmant mur, me blessant quelque peu la cheville. Apres avoir reprit mes esprits il semblerait que ça aille mieux.

Qu'est ce qu'il est bien quand il dit n'importe quoi et qu'il invente, y'a pas a dire, magnifique.

Bref, pour ne pas vous endormir avec nos péripéties, je vais vous raconter comment nous sommes arrivé jusqu'ici.
Alors que je me promenais dans Montbrisson, j'ai décidé d'allez voir mon vieille amis Hervé pour qu'il me donne des plantes médicinale, j'y ai rencontré cette dame en piteuse état, et le mot est léger encore. Je vous dirai plus en détail plus tard pour l'instant elle risquerait de me maltraiter encore.
Bref, j'ai décidé de m'occuper d'elle et on m'a dit que vous avez ce local, et que peut être vous me laisseriez l'osculter pour voir ce qui se passe.

Korydwen

Elle regarde la Dame puis le Messire attend quelques explications. La Dame prit la parole en premier lui expliquant que l'homme n'était pas blessé...Une bonne chose.

Elle sourit à l'évocation d'un léger hématome. Certes la douleur pouvait être là, mais de là à beugler comme un âne. Enfin soit...

Pardonnez mon manque de convenance, je ne me suis pas présentée ... Dame Clélie. Je suis de passage dans votre ville ... Sieur Ninjaturtel, qui m'accompagne, m'a emmenée chez vous pour m'osculter, il me trouve une petite mine ... Je vous ferai grâce des raisons exactes qui nous ont amenés dans votre dispensaire, mais je tiens tout de même à vous dire de vous méfier du vieux fou qui tient une herboristerie à l'autre bout de la rue ... Enfin, trève de bavardages ... Il serait sans doute mieux que vous voyiez avec le docteur Ninjaturtel afin de nous permettre d'emprunter votre local pour cette consultation ...

Elle l'écouta attentivement, herboriste au coin de la rue, elle n'y avait jamais vraiment fait attention...Était-elle passée un jour devant chez lui...Peut-être.

Enchanté et merci Dame Clélie, je ferai attention avec le vieux fou qui traîne au coin de la rue. Oui je vais voir avec le Docteur et essayer de vous trouvez un endroit tranquille...Voyez-vous aujourd'hui avait lieu l'inauguration du Dispensaire. D'où tout ce monde présent et euh...autour de nous.

Elle laissa la Dame pour se tourner vers Ninjaturtel.

Elle l'écouta attentivement et visiblement il n'avait pas du entendre la fin de sa phrase. Elle savait bien qu'une blessure pouvait ne pas provoquer de saignement...Elle ne dit rien et garda le sourire, pas le moment de se laisser emporter et de faire une bourde...Et une épaule déboîtée, elle savait bien la douleur que cela pouvait entraîner...Elle passa machinalement sa main sur son épaule comme si la douleur était encore présente...

Je m'excuse de cette entrée, mais la dame ici présente, celle avec le teint palot ne se sentait pas bien, je lui ai donc proposé de l'osculter et arriver a la porte elle a perdu l'équilibre et s'est rattrapé a moi. N'etant pas préparé j'ai foncé la tête la première dans votre charmant mur, me blessant quelque peu la cheville. Apres avoir reprit mes esprits il semblerait que ça aille mieux.

Enchanté Messire Ninjaturtel ! D'où le bruit et les cris...Vous avez repris vos esprits bien vite...J'espère que vous allez mieux et que cet affreux choc n'est plus qu'une histoire ancienne...

Elle se demandait si il fallait vraiment le croire, il n'était pas si à plaindre que ça.

Bref, pour ne pas vous endormir avec nos péripéties, je vais vous raconter comment nous sommes arrivé jusqu'ici.
Alors que je me promenais dans Montbrisson, j'ai décidé d'allez voir mon vieille amis Hervé pour qu'il me donne des plantes médicinale, j'y ai rencontré cette dame en piteuse état, et le mot est léger encore. Je vous dirai plus en détail plus tard pour l'instant elle risquerait de me maltraiter encore.
Bref, j'ai décidé de m'occuper d'elle et on m'a dit que vous avez ce local, et que peut être vous me laisseriez l'osculter pour voir ce qui se passe.

Elle l'écouta à nouveau attentivement, c'est qu'il avait un sacré débit de parole.

Euh les détails vous pouvez les passer sous silence, mais assez bavarder vous ne trouvez pas. Si Dame Clélie vous a semblé si palote autant s'occuper rapidement d'elle.

Elle tourna les talons.

Le Dispensaire n'étant pas tout à fait terminé, j'espère qu'une des chambre dortoir vous ira. Table, lits, chaises, bureaux et autres sont présents. Si vous avez besoin de plantes ou de quoi que se soit Dame Tiadriel l'herboriste en a rangé quelques unes hier.

Elle leur demanda de la suivre et les entraîna jusque devant une porte, elle l'ouvrit en grand, dégageant le passage pour les laisser passer.

Voilà c'est ici, j'espère que cela vous conviendra. Si vous avez besoin de quoi que se soit, vous appelez. Comme Messire Ninjaturtel semble avoir un don pour hurler. Si vous le désirez après vous pourrez vous joindre à nous, dans la grande salle...Après tout.

Elle les regarda en souriant, attendant qu'ils s'installent.

Ninjaturtel

La dame lui reparlait, elle avait pas l'air d'avoir gober le coup de la douleur et tout, et ses passages sur la douleur sans sang pour noyer le poisson, résultat moyen...

Elle lui explique alors concernant le dispensaire, et qu'elle veut bien leur prêté une chambre dortoir.

Pour la chambre ça me va oui, c'est très bien.
J'ai juste besoin d'un endroit ou je peux la regarder sans être trop dérangé.
Je vous remercie en tout cas de votre générosité, et m'excuse de vous avoir dérangé pendant votre fête.

Il la suit, tire Clélie avec lui, c'était un peu a son tour de la tirer cette fois ci. Kory les emmène directement a la chambre, elle leur présente le local et se permet même une petite réflexion. Amusé Ninja sourit puis fixe un peu la dame...

Etrange... Il l'a déjà vu... Ça fait si longtemps qu'il ne s'est plus baladé dans le BA...
Elle a dit Korydwen... Ninja a en général une très bonne mémoire... enfin que pour les noms des dames... C'est pour ce que ça lui dit quelque chose, voir un peu plus...

Trop curieux de savoir, il dit alors :

Je vous remercie de cet accueil, avec un si charmant sourire je ne pouvais espérer mieux.
Cependant j'ai une petite question Madame... J'ai un assez grand pressentiment de vous avoir déjà parler par le passé, comme je me fais âgé j'ai bien peur de confondre mais je me rappel il y a de ça quelque temps, que vous aviez en compagnie de votre époux mit des affiches concernant la naissance de votre enfant...

Si je ne me trompe pas, la petite qui a crié que j'avais un bobo, ça doit être l'enfant... Et si je ne me trompe pas vous êtes l'épouse de Messire Althiof c'est ça ?


Pas complètement sur, mais quasi. Il avait recoupé les informations et pensait bien avoir retrouver le qui de quoi de qu'est ce. Restait a savoir si c'était bon. Il patienter donc en regardant la dame, en attendant sa réponse, avec bien sur comme d'habitude, Clélie qui était quelque part dans la pièce, il l'avait oublié.

Rick

Une dame que Rick ne connaissait pas se présenta, en tenant Eléa par la main.

"Décidément c'est une nouveauté, faire remarquer sa présence en hurlant et de surcroît dans un Dispensaire. Messire point besoin de crier, nous vous aurions vu au bout d'un moment."

Eléa vint saluer son oncle et Rick se mit à genoux pour lui faire un bisou.

Coucou, ma puce ! Comment vas-tu ?

"Je suis Mathilde, je travaille au Dispensaire, j'aide Dame Korydwen et Dame Tiadriel. Un homme vient d'arriver en hurlant, il semblait blesser, du moins c'est ce qu'il disait."

Enchanté Dame Mathilde ! Je suis Rick, le frère et le fiancé de vos deux collègues. Je suis aussi le neveu de cette adorable petite fille. Je suis bien heureux de voir qu'il y ait quelqu'un qui se soit intéressé au dispensaire. Quel est donc votre spécialité ?

"Pas la peine de vous y rendre, ils sont entre de bonnes mains. Dame Korydwen semble gérer la situation et l'homme pas vraiment blessé. Après la suite je ne l'ai pas entendu...Votre voix a couvert tout autres sons pouvant provenir du Dispensaire."

Rick était désolé d'avoir fait une entrée si remarquée. Il décida de présenter ses excuses à son vis-à-vis.

Dame Mathilde, je suis désolé pour cela. Je ne pensais pas que le dispensaire avait déjà des clients. Sinon, je me serais montré plus discret. Je pense que l'une ou l'autre de vos collègues étaient en haut et comme je voulais assister à l'ouverture de leur nouvelle occupation, j'ai souhaité les interpeller.

Rick réfléchit un instant.

Vous m'avez parlé de Dame Korydwen qui se trouve à l'étage ! Mais vous n'avez pas évoqué ma fiancée. Savez-vous si Tia est dans les parages ? J'aurais voulu la voir en attendant que ma soeur finisse avec le blessé qui n'en ait pas vraiment un.

Rick sourit et se demanda qui pouvait être ce blessé.

Mathilde

Mathilde regardait l'homme et plus il parlait plus ses yeux s'agrandissaient. Il avait pas l'air très en forme...

Enchanté Dame Mathilde ! Je suis Rick, le frère et le fiancé de vos deux collègues. Je suis aussi le neveu de cette adorable petite fille. Je suis bien heureux de voir qu'il y ait quelqu'un qui se soit intéressé au dispensaire. Quel est donc votre spécialité ?

"Enchanté Messire Rick. Si vous le permettez messire, je pense que vous vouliez dire oncle de cette adorable petite fille. Enfin sauf si votre famille est plus compliquée que je le pense."

La petite fille tenait toujours la main de Mathilde, de cette façon la petite fille ne retournerait pas dans les jambes de sa mère.

Dame Mathilde, je suis désolé pour cela. Je ne pensais pas que le dispensaire avait déjà des clients. Sinon, je me serais montré plus discret. Je pense que l'une ou l'autre de vos collègues étaient en haut et comme je voulais assister à l'ouverture de leur nouvelle occupation, j'ai souhaité les interpeller.

"Si vous étiez entré par la porte, comme toute personne civilisée, vous auriez vu qu'il y avait du monde dans le Dispensaire. D'ailleurs par où êtes-vous entré, pardonnez toutes ses questions..."

Plus elle discutait avec l'homme et plus elle le trouvait particulier.

Vous m'avez parlé de Dame Korydwen qui se trouve à l'étage ! Mais vous n'avez pas évoqué ma fiancée. Savez-vous si Tia est dans les parages ? J'aurais voulu la voir en attendant que ma soeur finisse avec le blessé qui n'en ait pas vraiment un.

"J'ai dit que Dame Korydwen était occupée avec un blessé, mais je n'ai jamais dit qu'elle était à l'étage. Messire vous entendez des voix, faites attention, c'est dangereux, l'inquisition veille...Votre soeur était au dernière nouvelle dans l'entrée du Dispensaire et non à l'étage. Enfin peut-être que maintenant elle l'est. Quand à Dame Tiadriel, il semble qu'elle soit arrivée, je l'ai croisé avec Sieur Laurentide, en arrivant tout à l'heure. Elle doit être dans l'entrée avec toutes les personnes présentes..."

Elle regarda l'homme, à nouveau attendant une réaction de sa part, elle ne put s'empêcher de lui demander...

"Vous êtes sur que vous allez bien messire...A vous entendre, l'on pourrait dire que vous êtes troublé ou que vous avez un petit peu trop abusé des bonnes choses durant le week end Pascal..."

Korydwen

Devant la porte de la chambre où elle laisserait les deux invités surprises, Korydwen écoutait Ninjaturtel.

Pour la chambre ça me va oui, c'est très bien.
J'ai juste besoin d'un endroit ou je peux la regarder sans être trop dérangé.
Je vous remercie en tout cas de votre générosité, et m'excuse de vous avoir dérangé pendant votre fête.

C'est vrai que j'ai été surprise par votre arrivé. Je veillerai à ce que vous ne soyez pas dérangé. Vous ne nous dérangez point, au contraire, si le Dispensaire peut-être utile, même si aujourd'hui c'est un peu spécial.

Les voyant entrer, elle allait faire demi-tour, afin de les laisser tranquilles et de retourner auprès des villageois et leur interdire l'accès de cette chambre. Ninjaturtel reprit la parole, elle l'écouta intriguée.

Je vous remercie de cet accueil, avec un si charmant sourire je ne pouvais espérer mieux.
Cependant j'ai une petite question Madame... J'ai un assez grand pressentiment de vous avoir déjà parler par le passé, comme je me fais âgé j'ai bien peur de confondre mais je me rappel il y a de ça quelque temps, que vous aviez en compagnie de votre époux mit des affiches concernant la naissance de votre enfant...

Si je ne me trompe pas, la petite qui a crié que j'avais un bobo, ça doit être l'enfant... Et si je ne me trompe pas vous êtes l'épouse de Messire Althiof c'est ça ?

Lui aussi pensait l'avoir déjà croisé, Korydwen cherchait dans sa mémoire l'endroit où elle avait déjà pu le rencontrer, en taverne peut-être une fois, mais ailleurs...Et puis il lui parla de l'affiche. Sûrement la première, l'affiche pour la naissance d'Eléa. Sachant que pour son fils, elle n'avait pas pu bouger...

Ne me remerciez pas pour l'accueil, c'est tout à fait normal, ce Dispensaire est là pour ça.

Vous faites bien d'en parler justement je me disais la même chose, votre visage ne m'était pas inconnu. Des affiches, oui certainement pour ma fille Eléa quelques jours après sa naissance. Et c'est bien elle qui a hurlé que vous aviez mal. Quand à votre dernière question, c'est bien ça, je suis l'épouse d'Althiof.

Elle regarda Ninjaturtel, il avait bonne mémoire, elle ne se souvenait du lieu où elle l'avait croisé. Puis remarquant qu'il était peut-être temps pour lui de s'occuper de Dame Clélie et pour elle de retourner vers ses invités.

Bien je vais vous laisser vous occuper de Dame Clélie.

Elle les salua d'un petit signe de la tête et retourna auprès de ses invités, elle aperçu Laurentide qui quittait le Dispensaire, elle commença à courir dans le couloir en l'appelant.

Laurentide ! Laurentide ! Revenez ! Ne partez pas ! Ce n'est pas fini !

Elle arriva à la porte et resta sur le pas, espérant qu'il reviendrait. Elle avait envie que l'artiste soit présent lorsqu'elle dévoilerait l'enseigne du Dispensaire...

Laurentide

Citation :

Laurentide ! Laurentide ! Revenez ! Ne partez pas ! Ce n'est pas fini !

Au bout de la rue de L'Escarnais, Laurentide entendit qu on l'appelait, il se retourna et vit Kory sur le pas de la porte du dispensaire.
il revint sur ses pas.

Ben, pardonnez-moi Dame, d etre parti sans saluer personne mais je me sentais de trop vu les circonstances et je ne voulais pas déranger

Ninjaturtel

Ninja remerciait Kory, et il avait raison, elle était bien la femme d'Althiof...
Mais... mais... qui dit femme d'Althiof, ouverture du dispensaire, dit qu'il doit être la le Althiof !

Pas le temps de lui demander qu'elle était déjà partit après avoir dit qu'elle le laisser s'occuper de Clélie.

"Mince, elle est rapide !"

Ce n'était pas si grave, il allait pouvoir ausculter Clélie comme ça. Ausculter, ausculter... mince... ausculter. Dame Kory lui avait dit où trouver le matériel, mais il avait pas vraiment fait attention. Il se retourne alors vers Clélie et dit :

Oups Clélie, j'ai oublié ou était le matériel, tu m'attends ici le temps que...


Moment de silence...



Ninja regardait derrière lui... il n'y avait plus personne... Seul chose qui clochait, un courant d'air... Il aperçut que la fenêtre était ouverte. Etait elle sortit par la ? Pourquoi ? Que s'était il passé ?

Il observa a droite a gauche, aucune trace de mot, lettre ou autre... Il était plus qu'inquiet la... que s'était il passé ?

Prit de panique, il espère qu'elle allait bien. il prit ses affaires et courra vers la porte. Lors de sa course dans le couloir il vit dame Kory au passage et dit :


Madame, vous saluerez votre époux de ma part. Je m'excuse de vous faussez compagnie si subitement mais ma patiente s'est volatilisé. Je m'en vais essayer de la retrouvé de suite.

Encore merci de votre générosité, mes excuses. Je repasserai visiter les lieux un jour prochain.

L’angoisse commençant a augmenté, il hâta le pas et sortit du dispensaire, prenant la direction de l’arrière du bâtiment, cherchant désespérément Clélie…

Laurentide

Laurentide était revenu, finalement il y aurait inauguration!
et c est lui qui présenterai l enseigne!! Ça, il l avait pas prévu.

Il trinqua avec les autres suite au petit discours de Kory. Déposa son verre après l avoir vidé et s esquiva vers la petite remise derriere le dispensaire. l enseigne devait y etre puisque c est là qu il l avait rangé au moment de la livraison.
L' enseigne était là, toujours enveloppé d un drap,

Il revint dans la salle où les gens discutaient et faisait honneur au buffet, Laurentide déposa le panneau dans un coin et attendit un signe de Kory, il était nerveux, ne sachant quoi dire, ni quoi faire